Les contributions de Jacques Frot :

 Les grandes lignes directrices d’un modèle énergétique pour la France

Par Jacques Frot le 12 avril 2007
Thème(s) : Modèle énergétique, Rôles nucléaire et énergies renouvelables
Mots clés : , , , , ,

Les grandes lignes directrices d’un modèle énergétique pour la France.

Rappelons qu’il s’agit de diviser par 4, d’ici 2050, les émissions françaises de CO2.
Pour cela il faut largement freiner l’usage des énergies fossiles carbonées : pétrole, gaz et charbon. Ceci par des économies et des substituts.
Outre l’énergie nucléaire, les énergies alternatives adaptées à notre pays sont connues et techniquement maîtrisées : biomasse*, géothermie, solaire (essentiellement thermique) et économies d’énergies émettrice de CO2. [Je ne cite ni l’éolien, inadapté dans le cas très particulier de notre pays comme je m’en suis expliqué par ailleurs, ni l’hydro-électricité dont on ne peut guère attendre plus en France].
Ces trois énergies renouvelables (biomasse*, géothermie, solaire thermique), vertueusement propres, présentent l’inconvénient de coûter cher. A moins d’un pétrole à 100$/bbl voire plus, les simples mécanismes économiques n’en assureront donc pas le développement par la seule initiative de consommateurs soucieux de leur porte-monnaie ….
Il faut donc en financer les usages : subventions, elles existent déjà mais il faudrait pouvoir les développer considérablement. Malheureusement l’état des finances de notre pays n’est pas compatible avec la dimension du problème: multiplier par 4 ou 5 (passer de 10 Mtep/an à 40 ou 50 Mtep/an) l’usage des renouvelables (sans éolien, voir ci-dessus). La source de financement doit être, selon le principe du pollueur-payeur, la taxation du carbone émis…donc de tous les usages énergétiques du pétrole, du gaz et du charbon : ceci jusqu’à ce que soient, peut-être un jour, maîtrisées et opérationnelles les techniques (très coûteuses en argent et en énergie) de capture et stockage du carbone.
La croissance (puisque nous n’en sommes pas encore dans nos pays développés -à tort je pense- à la stopper et encore moins à lui substituer la décroissance) ne pourra se suffire d’un tel développement des renouvelables (multiplication par 4 ou 5) : la France devra maintenir son nucléaire et le développer.

*biomasse thermique : beaucoup plus efficace que de passer par les bio-carburants, la biomasse thermique se substituant à du fuel de chauffage qui devient disponible pour les moteurs diesel routiers. Dans quelques décennies, les bio-carburants “plante entière” remettront en cause ce théorème.

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 Faut-il encore parler d’après pétrole?

Par Jacques Frot le 9 avril 2007
Thème(s) : Modèle énergétique
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Le rapport GIEC 2007 ne permet plus de doute sérieux sur la réalité de la menace climatique ni sur le caractère anthropique des causes de cette menace.
Dès lors il devient clair que les ressources de la planète en énergies fossiles (pétrole, gaz et charbon transformés en gaz carbonique par leur utilisations énergétiques) sont largement excédentaires face à ce que peut supporter notre atmosphère. A moins que ne soient maîtrisées les techniques de capture et séquestration de façon acceptable par l’économie et l’environnement: on n’en est malheureusement pas là ; peut-être sera-ce possible d’ici une vingtaine d’années. Peut-être…Mais on ne peut attendre aussi longtemps pour agir.
La menace pétrolière d’épuisement ou de pénurie s’estompe au profit (si l’on peut dire ) de la menace climatique.
Les actions à prendre doivent donc viser à réduire les émissions de gaz à effet de serre plus que les consommations d’énergie . Il faut maximiser l’usage des énergies non émettrices : l’énergie nucléaire, l’hydroélectricité, la bio-masse, le solaire thermique. Il faut également économiser à tout crin les énergies émettrices de CO2 (charbon, gaz et pétrole). Je ne cite pas l’éolien qui, dans le cas particulier -unique je pense- de la France ne participe pas à la réduction des émissions d e CO2 alors qu’il y participe évidemment partout où l’électricité de base est faite à partir de fossiles carbonés.

Une remarque à propos de la bio-masse dont le potentiel en France est très important : largement plus important que le niveau déjà significatif auquel elle est utilisée aujourd’hui dans notre pays (> 10 Mtep). Il y a 2 façons d’exploiter la biomasse : comme source de chaleur et comme matière première pour la fabrication de bio-carburant. Comme source de chaleur son potentiel, dans notre pays, est de 4 à 5 tep/ha/an au lieu de 1 à 2 tep/ha/an sous forme de bio-carburant. Le développement des réseaux de chaleur devrait, à mon sens, avoir priorité sur le développement des bio-carburants. Ces réseaux de chaleur éviteront les émissions de CO2 associées aux consommations de fuel de chauffage et de gaz.

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 Association train vélo

Par Jacques Frot le 9 avril 2007
Thème(s) : Transport
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Depuis une dizaine d’années la SNCF a fait de louables efforts pour faciliter le transport des vélos: aujourd’hui la quasi totalité des TER et la majorité des corails sont accessibles aux vélos. Et c’est gratuit (sauf dans les Théoz)

C’est beaucoup plus diffcile dans les TGV: le vélo doit être mis dans une housse ce qui implique le démontage, le transport à l’épaule; bref il est décourageant de prendre le TGV avec un vélo.
Une action s’impose auprès de la SNCF afin d’obtenir d’elle que une voiture par rame soit équipée d’un espace vélo

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 Les maisons du travail

Par Jacques Frot le 24 mars 2007
Thème(s) : Aménagement, urbanisme, production
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Je reviens au potentiel d’économies d’énergie associées aux télécoms (internet, webcam…. téléréunions)
Le concept des maisons du travail se propose non plus de regrouper chaque jour les actifs d’une même entreprise dans les bureaux de la dite entreprise, mais de regrouper les actifs de diverses entreprises dans un quartier proche de leurs domiciles.
A nouveau cela concerne les cols blancs…et 3 ou 4j/semaine car il faut tout de même rappeler aux patrons qu’on existe!
Concept applicable dans les grandes villes.
Economies de transport, donc d’énergie et, dans le cas des transports routiers, de CO2

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 Le travail à la maison

Par Jacques Frot le 24 mars 2007
Thème(s) : Aménagement, urbanisme, production
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Les télécoms (Internet) peuvent considéralement favoriser le travail à la maison: du moins celui des cols blancs. Aujourd’hui, tout actif a deux “habitations”: son domicile et son lieu de travail. Si ce dernier est un bureau (cas des cols blancs), l’ordinateur et internet permettent de transférer le dit bureau à la maison; disons 3 ou 4j/semaine. Globalement il y a un grand potentiel de réduction des surfaces de bureau et des consommations d’énergie y associées….dont celle du transport domicile / travail.
Ajoutons à cela que, au fil des années, il y aura, en proportion, de plus en plus de cols blancs.

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 Actions lourdes

Par Jacques Frot le 21 mars 2007
Thème(s) : Consommation, décroissance
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Pour répondre à (et approuver) thierry du 20 mars, quelques actions lourdes ….beaucoup plus lourdes que les ampoules basses consommation et moins chères au gramme de CO2 évité. Ce sont des évidences mais il serait utile que notre société de consommation et de gaspillage communique très lourdement sur ces sujets. Et il faudra répéter pour enfoncer le clou . Ci-dessous une liste, non exhaustive, de ce qui peut être fait sans investissement significatif.

Douches au lieu de bain
Pull over, chaussettes de laine et couette au lieu de gaz, fuel ou charbon
Twingo et Smart au lieu de 4×4
vélo ou marche à pied en ville ou transports en commun
A la maison éteindre tout ce qui est inutilement allumé*
Emmener les petits-enfants au ciné par exemple (au lieu d’une virée en voiture par exemple)
Consommer des produits de la saison et de l’endroit
Ne plus jeter ce qui est démodé et non usé (mais là j’affronte la société de consommation: horreur)

*encore que, dans notre pays dont l’électricité de base n’émet pas de CO2, ce genre d’action n’évite du CO2 qu’en période de pointe de consommation électrique (exemple: période de froid ou de canicule). Noter aussi qu’une ampoule (ou un poste TV ou tout autre chose) inutilement allumée participe au chauffage

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 L’éolien français et les émissions de CO2 (SLC et AEPN)

Par Jacques Frot le 14 mars 2007
Thème(s) : Rôles nucléaire et énergies renouvelables
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L’énergie éolienne est intermittente et aléatoire: pas de vent ou trop de vent = éoliennes en drapeau.
On ne peut donc compter sur l’énergie éolienne pour faire face aux pointes de demandes. C’est dire que l’énergie éolienne ne peut produire que de l’électricité de base.

En France l’électricité de base est produite par le nucléaire et l’hydraulique, donc sans émissions de CO2. C’est dire que l’éolien français ne pourra que se substituer à deux sources d’énergie non émettrices. L’éolien français ne réduit donc pas les émissions et ne participe pas à la protection de l’atmosphère.

Le budget français de l’éolien pour les années à venir est de 25 milliards d’euros. Cet argent serait mieux utilisé à développer le solaire thermique qui, lui, se substituera à du fioul et à du gaz . Le potentiel français de solaire thermique est considérable: il équivaut à quelques dizaines de millions de tonnes équivalent pétrole (tep) de fioul et de gaz chaque année. Contrairement à notre éolien il éviterait donc, lui, d’importantes “émissions de CO2 (3,5t de CO2 pour 1 tep).

L’Europe s’est lourdement trompée en ne distinguant pas les 2 problèmes que sont d’une part la production électrique et, d’autre part, les émissions de CO2.
Certes:
“ERRARE HUMANUM EST”
Mais
“PERSEVERARE DIABOLICUM”

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 L’hydrogène pour la route: ???

Par Jacques Frot le 14 mars 2007
Thème(s) : Transport
Mots clés : ,

Un bémol sur l’hydrogène en rapport avec la contribution de tamain du 13 mars (contribution que j’approuve sans autre réserve): certes on sait fabriquer l’hydrogène et ceci de plusieurs façon, toutes à grand frais. On saura faire encore mieux. Mais ça coûtera énormément d’énergie, à moins que l’on ne maîtrise sa fabrication directe par les mécanismes biologiques (le DOE -Department Of Energy américain y travaille et il n’est pas le seul).

Si le monde entier se “scotche” sur la bagnole comme c’est le cas des américains (et plus généralement des populations de l’OCDE) et comme sont entrain de le faire chinois et indiens (=40% de la population mondiale) le monde de l’automobile aura besoin, chaque année de 1 à 3 milliards de tonnes d’H2 !!! Mais, à nouveau, on saura le fabriquer. Et il est inépuisable puisque H2 + O —> H20 qui retourne là où on l’a prise. Et c’est propre. La motivation est donc double et majeure.

Le problème sera la mise à bord des véhicules: les technologies d’aujourd’hui ne le permettent pas vraiment. Avec les matériaux actuels un réservoir d’hydrogène embarqué sous pression (700 bars) pèserait vide une cinquantaine de fois le poids de l’hydrogène qu’il contiendrait.: inutilisable. Les nanotechnologies résoudront-elles cette difficultés ??? Le transport d’H2 sous forme d’hydrures sera aussi difficile. et problématique. Et liquide sous froid (-253°c): très faible densité, il faudrait 3 litres de H2 liquide pour remplacer 1 litre d’essence etc…etc..!!!
Le Prsdt BUSH, a évoqué le sujet en janvier 2003 lors de son adresse annuelle au peuple américain sur l’Etat de l’Union”. Il semblait confiant dans l’avenir de l’hydrogène routier, disant (je recopie) « With a new national commitment our scientists and engineers will overcome obstacles to taking these cars from laboratory to showroom, so that the first car driven by a child born today could be powered by hydrogen and [be] pollution free ». 2003 + 16 (âge du permis de conduire aux USA) = 2019. Un tel objectif me semblait alors (en 2003) inaccessible comme me parut inaccessible l’objectif annoncé par John Kennedy en janvier 1961, dans les mêmes circonstances, à savoir objectif ” la lune” dans les 10 ans. Ils y étaient en 1969.
Aujourd’hui, cependant, je persiste (à tort ou à raison) à croire inaccessible l’objectif H2 routier. Qui vivra verra.

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 Voitures “tout électrique”

Par Jacques Frot le 12 mars 2007
Thème(s) : Transport
Mots clés : Aucun

Les voitures hybrides rechargeables transportent la pollution de la ville à la campagne. C’est quand même un progrès (à mon avis de citadin!!!), même s’il est modeste.
L’idéal serait une voiture exclusivement électrique (avec une électricité sans G.E.S bien sûr). 2 schémas:
1. batteries: voilà 150 ans qu’on cherche à stocker beaucoup d’énergie électrique sous faible volume et faible poids. Avis tout personnel et pas spécialement compétent: si on avait dû trouver on aurait déjà trouvé.
2. Génération d’électricité propre à bord du véhicule: piles à hydrogène. Mais il y a à franchir en cette matière de multiples marches scientifiques et technologiques (dont stockage à bord du véhicule entre autres). Elles seront peut-être franchies un jour : nul ne peut l’affirmer. Plusieurs pays (dont la France) y travaillent. Pour l’heure on sait fabriquer l’hydrogène : de plusieurs façons, toutes onéreuses et très coûteuses en énergie. Et l’inventivité des hommes n’y changera rien……..
…..à moins que l’on ne maîtrise un jour la fabrication (à l’étude) d’H2 « solaire », directement à partir de la biomasse (mécanisme photo-biologique): si la fabrication d’hydrogène solaire était maîtrisée, les renouvelables (le soleil en l’occurence) trouveraient là un gigantesque domaine d’application et deviendraient la première source mondiale d’énergie. Propre et inépuisable évidemment.

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 Cessons les combats d’arrière-garde

Par Jacques Frot le 11 mars 2007
Thème(s) : Rôles nucléaire et énergies renouvelables
Mots clés : Aucun

L’avenir énergétique de la France, comme celui du monde entier, pose des problèmes techniques et comportementaux difficiles.
On aura besoin de tout.
Se battre contre le nucléaire ou contre les renouvelables sont devenus des combats d’arrière-garde.
Il faut passer à autre chose: utiliser l’énergie la mieux adaptée au bon endroit et dans les bonnes circonstances.

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 A propos des énergies et des émissions de G.E.S

Par Jacques Frot le 8 mars 2007
Thème(s) : Rôles nucléaire et énergies renouvelables
Mots clés : Aucun

On reproche souvent à la France d’avoir fait peu d’éolien.

Notons que la France est, en compagnie de la Suède, en tête de la classe européenne, c’est à dire parmi les moins émetteurs, pour ce qui concerne les émissions de CO2 par an et par tête d’habitant: Suède 5,80 t CO2/hab en 2004, France 6,22 tCO2/hab. A comparer avec les deux champions européens de l’éolien: Danemark 9,42 et Allemagne 10,29 donc entre 60 et 80% de plus que France et Suède. Ces chiffres sont ceux de l’Agence Internationale de l’Energie AIE. pour 2004
Le paradoxe n’est qu’apparent: Suède et France font beaucoup d’électricités nucléaire et hydraulique. Ceci explique cela.

L’essentiel, est que chaque pays oeuvre en vue de la réduction des émissions de G.E.S et, en particulier, du plus important d’entre eux: le CO2 qui intervient pour les 2/3 du problème accroissement de l’effet de serre.
Dans ce but il faut faire appel à tous les “outils” disponibles: éolien, nucléaire, solaire thermique, solaire photovoltaïque (dans des cas tout spéciaux vu le coût très élevé de cette technique), géothermie. Allemagne et Danemrk ont choisi l’éolien et le solaire (allemagne), Suède et France ont choisi l’hydaulique te le nucléaire.
Mais il est un outil qui prime tous les autres et dont l’usage doit être universel: l’efficacité énergétique c-à-d, en termes plus “vulgaires” les économies. Rappelons, à ce propos, que le Commissariat Génénal au Plan Français, dans son étude Energie 2010-2020 concluait que les français pourraent vivre aussi bien en consommant quasiment 2 fois moins d’énergie!!!

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