Les contributions sur le THEME : Transport

Déplacement en ville et à longue distance, transports de marchandises

Le débat proprement dit est maintenant terminé. Les synthèses et propositions finales sont en ligne, ainsi que les vidéos et les enregistrements sonores de l'événement de clôture qui a eu lieu le 11 juillet 2007.

 Proposition 6. Voir proposition 3 (reformulée après débat)

Par mediateur le 9 juillet 2007
Thème(s) : Transport
Mots clés : Aucun

Dans la discussion de la phase 3 sur la proposition 6 (”Développer l’intermodalité dans les transports”) comme dans celle sur la proposition 3 (”Développer le covoiturage et la pratique du vélo”), c’est le développement du vélo qui a très majoritairement été traité. De ce fait, la version reformulée de la proposition 3 tient compte des deux discussions.

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 Proposition 5. Instaurer une vignette carbone sur la puissance automobile (complétée après débat)

Par mediateur le 9 juillet 2007
Thème(s) : Transport
Mots clés : Aucun

Synthèse du débat de la phase 3 sur la proposition 5

Cette proposition a retenu l’attention des internautes qui l’ont bien notée et abondamment commentée. Concernant les paramètres sur lesquels doit être basé le calcul du montant de la vignette, les avis sont plutôt partagés entre la puissance et les émissions de GES du véhicule. La première option est d’avantage idéologique, les intervenants visant avant tout les utilisateurs de 4×4 et autres grosses cylindrées. Dans le cadre de la seconde option, une réflexion a été amorcée sur la prise en compte de la climatisation. Deux internautes demandent si le kilométrage ne devrait pas être pris en compte. Mais ces propositions n’ont pas été discutées plus avant. Des messages proposent que la vignette carbone soit payée avec l’impôt sur le revenu.
Il ressort clairement dans plusieurs messages que, par souci de cohérence, la mise en place d’une vignette carbone doit être assortie du retrait de l’avantage financier apporté par la puissance fiscale du véhicule dans le calcul des frais réels sur la déclaration de l’impôt sur le revenu.
Il apparaît aussi important que l’argent de la vignette carbone soit entièrement consacré à l’amélioration de la qualité énergétique et environnementale des transports (développement de pistes cyclables, des transports en commun, financement de la recherche…).


Proposition 5. Instaurer une vignette carbone sur la puissance automobile

Il faut instaurer une vignette automobile, annuelle, pour taxer les véhicules les plus polluants. La question n’est pas tranchée de savoir s’il faut baser le calcul du montant de cette vignette “carbone” sur le poids et la puissance fiscale du véhicule ou sur ses émissions de gaz à effet de serre. La seconde hypothèse est logiquement assortie de l’obligation d’un diagnostic régulier du véhicule.
La mise en place de la vignette “carbone” doit s’accompagner du retrait de l’avantage financier apporté par la puissance fiscale du véhicule dans la calcul des frais réels sur la déclaration de l’impôt sur le revenu.
L’argent de la vignette carbone doit être entièrement consacré à l’amélioration de la qualité énergétique et environnementale des transports.

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 Proposition 3. Mesures pour développer l’usage du vélo (reformulée après débat)

Par mediateur le 9 juillet 2007
Thème(s) : Transport
Mots clés : Aucun

La présente proposition résulte des discussions sur les propositions initiales 3 et 6

Synthèse du débat de la phase 3 sur la proposition 3 “Développer le covoiturage et la pratique du vélo”

Le principal frein identifié sur le développement de l’usage du vélo est la difficile co-existence avec les automobilistes. Deux approches dominent dans la discussion. La plupart des internautes se prononcent pour le développement de pistes cyclables. La peur de l’automobiliste les incite à demander des pistes cyclables continues, séparées du trafic automobile. Plusieurs intervenants veulent quant à eux rendre plus coûteux aux automobilistes l’accès des villes. Ils proposent d’installer des péages à l’entrée, d’y réduire la vitesse, d’y rendre payants les stationnements, d’y sanctionner sévèrement les infractions, notamment celles à l’encontre des cyclistes et des aménagements qui leur sont destinés… Ils proposent aussi plus de sensibilisation envers les automobilistes sur l’usage partagé de la voirie. Il y a également une forte demande pour des parkings à vélo sécurisés (points de fixation anti-vol) et protégés des intempéries.
La question du co-voiturage n’a quasiment pas été traitée. Elle ne peut de ce fait figurer dans la formulation finale.

Synthèse du débat de la phase 3 sur la proposition 6 “Développer l’intermodalité dans les transports”

Si le développement de l’intermodalité dans les transports apparaît un chantier important, c’est très majoritairement la place du vélo dans et autour du train qui a été abordée. On retrouve ainsi des propositions communes avec la proposition n°3 (”Mesures pour développer l’usage du vélo”) comme le besoin de places de parking sécurisées. Cette proposition sera donc fusionnée avec la proposition n°3 (”Mesures pour développer l’usage du vélo”). Pour développer la connexion train-vélo, deux approches ont été proposées de façon égale. L’une consiste à développer les points de location de vélos au niveau des gares, l’autre à permettre un vrai accès du vélo dans les trains (RER, TGV et autres). Sur le volet offre de location, les initiatives Vélo’v à Lyon et Vélib à Paris sont présentées comme exemplaires. Sur la place du vélo dans le train, plusieurs points sont développés : amélioration de l’accès au train (une rame ou un wagon par train sans siège, avec une ouverture large, et un accès facilité aux quais), promotion du vélo pliant…


Proposition 3. Mesures pour développer l’usage du vélo

Un des principaux freins identifiés au développement de l’usage du vélo est la difficile co-existence avec les automobilistes. Deux approches sont possibles pour améliorer cette cohabitation. La première concerne le développement d’infrastructures : pistes cyclables et parkings. Les pistes cyclables devraient, chaque fois que possible, être continues, à double sens de circulation, séparées du trafic automobile. Les places de parking pour les vélos doivent être sécurisées (points de fixation anti-vol), protégées des intempéries et non accessibles aux automobiles. Parallèlement, l’accès des villes doit être rendu plus coûteux pour les automobilistes. Les solutions sont diverses : installer des péages à l’entrée des villes, y réduire la vitesse, y rendre payants les stationnements, y sanctionner sévèrement les infractions, notamment celles à l’encontre des cyclistes et des aménagements qui leur sont destinés. Il paraît nécessaire d’éduquer les automobilistes sur l’usage partagé de la voirie.
Un deuxième axe important en faveur du vélo est l’amélioration de la connexion train-vélo. D’une part, il faut permettre un vrai accès du vélo dans les trains (RER, TGV et autres) avec, par exemple, une rame par train sans siège et un accès facilité aux quais. La promotion du vélo pliant devrait être envisagée. D’autre part, des points de location doivent être implantés au niveau des gares.
Le développement des points de location est demandé de manière plus générale, à l’image des opérations Vélo’v à Lyon et Vélib à Paris.

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 Proposition 2. Plus de cohérence dans les messages véhiculés par les médias (reformulée après débat)

Par mediateur le 9 juillet 2007
Thème(s) : Transport
Mots clés : Aucun

Synthèse du débat de la phase 3 sur la proposition 2

Répondant à la proposition 2 issue de l’atelier Transport, les internautes, globalement, n’ont pas remis en cause la nécessité des campagnes d’information et de sensibilisation. Ils ont donné un certain nombre de pistes pour en préciser les modalités : ne pas hésiter à montrer des images choc en ayant recours à des projections dans l’avenir, privilégier les témoignages pour mettre l’accent sur la faisabilité, souligner l’impact des transports, choisir des moyens adaptés à chaque cible (créneaux horaires différents à la télévision, autres supports). Mais, plus qu’une grande campagne, les internautes ont souligné la nécessité d’une cohérence d’ensemble des messages que nous envoient les médias, avec une responsabilité particulière pour les chaines publiques. La proposition 27, qui portait sur ce point n’a quasiment pas été discutée dans la troisième phase du débat. La reformulation suivante vaudra donc pour les propositions 2 et 27.


Proposition 2. Plus de cohérence dans les messages véhiculés par les médias

Les campagnes d’information et de sensibilisation sur la maîtrise de l’énergie sont indispensables. S’il en existent déjà, comme celles menées par l’ADEME, elles doivent pouvoir être améliorées, par exemple en mettant mieux en évidence les conséquences du changement climatique ou en insistant plus sur l’impact de certains moyens de transport. Mais ces campagnes n’auront un impact réel que si elles s’inscrivent dans un discours d’ensemble cohérent. Il apparaît prioritaire d’obtenir des médias de masse, notamment des chaînes de télévision, une telle cohérence d’ensemble. Une responsabilité particulière incombe aux chaines publiques, qui devraient par exemple programmer des émissions de sensibilisation aux heures de grande écoute. Il devrait être possible d’imposer des mesures fortes comme l’interdiction des publicités sur les véhicules individuels polluants. Des dispositions doivent être prises en ce sens, par le gouvernement et/ou le CSA.

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 Proposition 1. Recherches et usages pour le véhicule électrique (reformulée après débat)

Par mediateur le 9 juillet 2007
Thème(s) : Transport
Mots clés : Aucun

Synthèse du débat de la phase 3 sur la proposition 1

Tout en soulignant l’intérêt des véhicules électriques (pas d’émissions locales, possibilité d’alimentation par des énergies renouvelables par exemple, adaptée aux déplacements à petite échelle), les échanges dans la troisième phase du débat sur la proposition initiale ont fait ressortir des difficultés assez importantes concernant leur développement à grande échelle. Les commentateurs ont souligné :
- Que l’usage envisageable à terme raisonnable concernait des usages ou des situations spécialisés.
- Qu’il fallait encourager des travaux repensant l’ensemble du véhicule et non la simple inclusion d’un moteur électrique dans un véhicule classique

Concernant la question sur les aides pour ce type de véhicule, voir cette fiche d’information.
Voici une réformulation de la proposition pour tenir compte de ces échanges :


Proposition 1. Recherches et usages pour le véhicule électrique

Soutenir les recherches sur le développement des véhicules électriques (batteries, reconception du véhicule dans son ensemble pour l’adapter aux contraintes et usages spécifiques).
Dans le même temps continuer à amorcer le marché du véhicule électrique (auprès des collectivités locales, pour faire baisser les prix, pour ouvrir le marché aux particuliers notamment pour les déplacements locaux).

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 Proposition 4. La taxe carbone et comment l’instaurer (reformulée après débat)

Par mediateur le 5 juillet 2007
Thème(s) : Transport, Consommation, décroissance
Mots clés : Aucun

Synthèse du débat de la phase 3 sur la proposition 4

Dans le débat de la phase 3 sur la taxe carbone, il a été fait assez peu référence aux discussions déjà menées à ce sujet au niveau international. Les internautes s’entendent pour considérer qu’une telle taxe est nécessaire. Mais des réserves sont émises. Une des préoccupations principales qui ressort de la discussion (elle est présente dans un tiers des messages) est le risque qu’elle accroisse les inégalités sociales en pesant lourdement sur le pouvoir d’achat des foyers les plus modestes. D’une manière générale, il apparaît indispensable que l’argent de cette taxe soit réinvesti dans la lutte contre le réchauffement climatique et pour la maîtrise de l’énergie. La redistribution devrait donc en premier lieu aider les foyers les plus modestes, mais aussi les entreprises qui améliorent leur bilan énergétique.
Concernant les modalités d’application de cette taxe, la majorité des internautes considèrent qu’elle doit prendre l’intégralité des émissions de GES associée à un produit. D’autres propositions ont été faites mais aucune d’elles n’a été suffisamment discutée pour pouvoir intégrer la proposition finale.


Proposition 4. La taxe carbone et comment l’instaurer

La taxe carbone est une mesure indispensable dans la lutte contre le rechauffement climatique et pour une meilleure maîtrise de l’énergie. Elle devrait être appliquée à tous les produits. Elle doit prendre en compte l’intégralité des gaz à effet de serre émis depuis leur production/fabrication jusqu’à leur fin de vie, incluant le stockage, le transport, la commercialisation, l’usage et le recyclage. Elle doit être introduite et augmentée progressivement. L’argent collecté doit être intégralement réinvesti dans la lutte contre le réchauffement climatique et la maîtrise de l’énergie. La redistribution devrait en premier lieu aider les foyers les plus modestes pour compenser leur perte de pouvoir d’achat.

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Les contributions ci-dessous ont été formulées lors de la phase 2 du débat.


 PROPOSITION 6. Développer l’intermodalité dans les transports

Par mediateur le 29 mai 2007
Thème(s) : Transport
Mots clés : , ,

Description de la proposition

Développer l’intermodalité dans les transports : améliorer la connexion entre les transports en commun et les autres modes de transport, comme par exemple le vélo ou la voiture électrique, pour lesquels il faudrait développer les possibilités de location et l’offre de parkings.

But de la discussion

La proposition ci-dessus est issue des phases 1 et 2 du processus du débat MDE. Ici, pour la troisième et dernière phase, nous vous invitons à compléter ou préciser la proposition, si nécessaire, et à discuter de ses conditions d’application et d’appropriation. En fonction de vos contributions, une nouvelle version de la proposition pourra être formulée et remise en débat… Fin de la participation : le 28 juin.
Pour bien participer dans cette dernière phase, reportez-vous à ce mode d’emploi du site.

12 Votes | Moyenne: 5 sur 512 Votes | Moyenne: 5 sur 512 Votes | Moyenne: 5 sur 512 Votes | Moyenne: 5 sur 512 Votes | Moyenne: 5 sur 5 (12 votes, moyenne: 5)
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 PROPOSITION 5. Instaurer une vignette carbone sur la puissance automobile

Par mediateur le 29 mai 2007
Thème(s) : Transport
Mots clés : ,

Description de la proposition

Instaurer une vignette carbone sur la puissance automobile. Il reste à en préciser les modalités. Quel serait le meilleur nom pour cette vignette ? Et qu’est ce qui serait taxé : le taux de rejet de co2 ?

But de la discussion

La proposition ci-dessus est issue des phases 1 et 2 du processus du débat MDE. Ici, pour la troisième et dernière phase, nous vous invitons à compléter ou préciser la proposition, si nécessaire, et à discuter de ses conditions d’application et d’appropriation. En fonction de vos contributions, une nouvelle version de la proposition pourra être formulée et remise en débat… Fin de la participation : le 28 juin.
Pour bien participer dans cette dernière phase, reportez-vous à ce mode d’emploi du site.

11 Votes | Moyenne: 4.91 sur 511 Votes | Moyenne: 4.91 sur 511 Votes | Moyenne: 4.91 sur 511 Votes | Moyenne: 4.91 sur 511 Votes | Moyenne: 4.91 sur 5 (11 votes, moyenne: 4.91)
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 PROPOSITION 4. Instaurer la taxe carbone

Par mediateur le 29 mai 2007
Thème(s) : Transport, Consommation, décroissance
Mots clés : ,

Nota : cette proposition est commune aux ateliers “Transport” et “Consommation responsable, décroissance énergétique”.

Description de la proposition

Instauration d’une taxe carbone qui rende plus coûteux les produits de mauvaise qualité environnementale ou en provenance de pays qui ne respectent pas le protocole de Kyoto. Il faut en préciser les modalités. En particulier, à quoi l’applique-t-on : au contenu carbone des produits ? Faut-il des mesures d’accompagnement pour les producteurs ?

But de la discussion

La proposition ci-dessus est issue des phases 1 et 2 du processus du débat MDE. Ici, pour la troisième et dernière phase, nous vous invitons à compléter ou préciser la proposition, si nécessaire, et à discuter de ses conditions d’application et d’appropriation. En fonction de vos contributions, une nouvelle version de la proposition pourra être formulée et remise en débat… Fin de la participation : le 28 juin.
Pour bien participer dans cette dernière phase, reportez-vous à ce mode d’emploi du site.

11 Votes | Moyenne: 4.91 sur 511 Votes | Moyenne: 4.91 sur 511 Votes | Moyenne: 4.91 sur 511 Votes | Moyenne: 4.91 sur 511 Votes | Moyenne: 4.91 sur 5 (11 votes, moyenne: 4.91)
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 PROPOSITION 3. Développer le covoiturage et la pratique du vélo

Par mediateur le 29 mai 2007
Thème(s) : Transport
Mots clés : , , ,

Description de la proposition

Développer le covoiturage et la pratique du vélo, notamment par des incitations financières et le développement d’infrastructures adaptées.
Quelques idées proposées dans l’atelier : aide financière pour l’achat de vélo à assistance électrique ; pour faciliter le covoiturage, mise en place d’un système de timbre (à la fois sécurisant et intéressant financièrement pour le particulier qui partage son véhicule) ; aides pour les entreprises (Plan de déplacement entreprise) ; incitations fiscales au niveau des collectivités locales ; sur la route, files dédiées.

But de la discussion

La proposition ci-dessus est issue des phases 1 et 2 du processus du débat MDE. Ici, pour la troisième et dernière phase, nous vous invitons à compléter ou préciser la proposition, si nécessaire, et à discuter de ses conditions d’application et d’appropriation. En fonction de vos contributions, une nouvelle version de la proposition pourra être formulée et remise en débat… Fin de la participation : le 28 juin.
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11 Votes | Moyenne: 4.91 sur 511 Votes | Moyenne: 4.91 sur 511 Votes | Moyenne: 4.91 sur 511 Votes | Moyenne: 4.91 sur 511 Votes | Moyenne: 4.91 sur 5 (11 votes, moyenne: 4.91)
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 PROPOSITION 2. Mener une grande campagne de sensibilisation

Par mediateur le 29 mai 2007
Thème(s) : Transport
Mots clés : ,

Description de la proposition

Mener une grande campagne de sensibilisation et de publicité sous un angle différent de ce qui a déjà été fait en matière de maîtrise de l’énergie : valoriser la pratique en matière de transports alternatifs (vélo, transports en commun et co-voiturage) ; rénover l’image de marque de la maîtrise de l’énergie ; ringardiser les mauvais comportements. Comment toucher le plus de monde possible avec cette campagne (quel type de message, quelle forme) ?

But de la discussion

La proposition ci-dessus est issue des phases 1 et 2 du processus du débat MDE. Ici, pour la troisième et dernière phase, nous vous invitons à compléter ou préciser la proposition, si nécessaire, et à discuter de ses conditions d’application et d’appropriation. En fonction de vos contributions, une nouvelle version de la proposition pourra être formulée et remise en débat… Fin de la participation : le 28 juin.
Pour bien participer dans cette dernière phase, reportez-vous à ce mode d’emploi du site.

8 Votes | Moyenne: 4.13 sur 58 Votes | Moyenne: 4.13 sur 58 Votes | Moyenne: 4.13 sur 58 Votes | Moyenne: 4.13 sur 58 Votes | Moyenne: 4.13 sur 5 (8 votes, moyenne: 4.13)
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 PROPOSITION 1. Développer le véhicule électrique

Par mediateur le 29 mai 2007
Thème(s) : Transport
Mots clés : , ,

Description de la proposition

A court terme, axer principalement la recherche dans le domaine des véhicules innovants sur le développement de la voiture électrique, notamment sur le système de stockage de l’énergie (batteries).
Et dans le même temps amorcer le marché du véhicule électrique (auprès des collectivités locales, pour faire baisser les prix , pour ouvrir le marché aux particuliers). Quelle incitation financière (crédit d’impôt / aides de l’ADEME) ?

But de la discussion

La proposition ci-dessus est issue des phases 1 et 2 du processus du débat MDE. Ici, pour la troisième et dernière phase, nous vous invitons à compléter ou préciser la proposition, si nécessaire, et à discuter de ses conditions d’application et d’appropriation. En fonction de vos contributions, une nouvelle version de la proposition pourra être formulée et remise en débat… Fin de la participation : le 28 juin.
Pour bien participer dans cette dernière phase, reportez-vous à ce mode d’emploi du site.

13 Votes | Moyenne: 3.92 sur 513 Votes | Moyenne: 3.92 sur 513 Votes | Moyenne: 3.92 sur 513 Votes | Moyenne: 3.92 sur 513 Votes | Moyenne: 3.92 sur 5 (13 votes, moyenne: 3.92)
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Les contributions ci-dessous ont été formulées lors de la phase 1 du débat.


 Interdire pour respirer et ne pas transpirer

Par ThierryK le 22 avril 2007
Thème(s) : Transport, Consommation, décroissance, Aménagement, urbanisme, production, Appareils et usages quotidiens
Mots clés : , ,

La mesure semble abrupte mais elle répond tout simplement à une attente de bons sens. Partant du principe que les contributions les plus courtes sont les plus lues, je me contenterais dans un premier temps d’une liste à la Prévert que je développerais et que tout un chacun pourra compléter :

1- Limiter les flux migratoires automobiles quotidiens :
- Interdire les véhicules de fonction pour les cadres sédentaires (la vanité ne doit pas prendre le pas sur notre survie),
- Améliorer les transports en commun (fréquence de passage, confort, développement de services annexes sur les lignes grande banlieue, restaurer la convivialité ),
- Surtaxer les entreprises artisanales intervenants systématiquement hors de leur département d’origine (tout le monde connait la stupidité du plombier de l’Essonne allant travailler dans Paris, croisant dans les embouteillages de l’autoroute A6 le plombier parisien allant travailler dans l’Essonne !!!),
- Surtaxer les centres logistiques (les super et hyper marchés habitués à travailler en flux tendus déplacent un semi-remorque sur plusieurs dizaines de kilomètres pour livrer 3 brosses à dents, ajoutez y les kilomètres de film plastique utilisés pour stabiliser des palettes incomplètes).

2- Construire intelligent :
- Permettre aux mairies de refuser des permis de construire dès lors qu’ils pourraient être une stupidité au plan énergétique (délires de verrières : « je voulais que cette pièce déboooooorde de lumière nous sommes très contents du résultââât, même si Henriette-Charlotte et moi-même avons dû y installer une clim’ ré-ver-si-ble pour quelle soit vivable au niveau température» à prononcer façon bobos) ou environnemental,
- Stopper le développement de méga centres commerciaux en périphérie des villes,
- Etendre l’aide de 50% pour les installations économisant l’énergie, non seulement aux fournitures mais également à la main d’œuvre (rappelons que la plupart des plombiers pratiquent actuellement les mêmes tarifs horaires que les plus grands professeurs en chirurgie, et ce lorsque vous arrivez à en « séquestrez » un pour travaillez chez vous plus d’une heure).

3- ….

Je parais sans doute être un râleur ou un coupeur de cheveux en quatre, mais très sincèrement je pense que l’action ne se limite pas à une ou deux grandes idées : n’utilisons que des moteurs électriques rechargés par des panneaux solaires ou recyclons les bouteilles de lait en plastique.
Elle est surtout une remise en cause complète de nos comportements de consommateurs, mais surtout ceux des entreprises et des administrations (ou collectivités locales) et ne pas hésiter à remplacer les incitations par des sanctions lorsque les premières ne sont pas efficaces. Par exemple, pourquoi persiste-t-on à essayer de construire des logements à l’horizontale multipliant ainsi les surfaces étanchéifiées (routes, parking, surfaces industrielles) et limitant l’alimentation de la nappe phréatique (cf les villes nouvelles, etc…).

Je suis certains que mes propos vont faire bondir la majorité des internautes, mais je pense que la prise de conscience doit-être un électrochoc pas une prise homéopathique…

5 Votes | Moyenne: 4 sur 55 Votes | Moyenne: 4 sur 55 Votes | Moyenne: 4 sur 55 Votes | Moyenne: 4 sur 55 Votes | Moyenne: 4 sur 5 (5 votes, moyenne: 4)
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 Du temps et des économies pour ceux qui font le choix du transport en commun

Par fred le 19 avril 2007
Thème(s) : Transport
Mots clés :

L’idée serait de partir du principe que les transports en commun sont largement sous-utilisés par le tout-un-chacun pour se rendre à son travail (il faudrait peut-être trouver des moyens d’étendre cette proposition au-delà de la simple activité professionnelle).
En rendant les transports en commun pour raisons professionnelles 100% remboursés par la collectivité, et en offrant des crédits d’heure de travail aux salariés faisant ce choix (financement par la collectivité), on pourrait ainsi favoriser l’utilisation de transports en commun. Ainsi les arguments classiques “c’est trop cher” (même si dans la réalité c’est rarement le cas) et “c’est trop lent” (là, en général, c’est vrai) perdraient leur sens puisque le temps perdu dans les transports en commun serait remboursé par des compte-épargne temps et le coût financier nul.
Il me semble que cette idée est un premier pas vers des villes 100% transports en commun, où tout-un-chacun serait traité à la même enseigne.

2 Votes | Moyenne: 3.5 sur 52 Votes | Moyenne: 3.5 sur 52 Votes | Moyenne: 3.5 sur 52 Votes | Moyenne: 3.5 sur 52 Votes | Moyenne: 3.5 sur 5 (2 votes, moyenne: 3.5)
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 vélo = santé + 0 euro + 0 pollution, mais + de polyvalence !

Par muller le 19 avril 2007
Thème(s) : Transport
Mots clés :

Le vélo c’est la santé, c’est 0 pollution et c’est 0 euro à l’usage !
Le vélo doit être développé et promu en ville, où la moitié des trajets en voiture se font sur moins d’un km..mais face à l’automobile le vélo manque de polyvalence. Pourquoi les constructeurs de vélo ne mettent-ils pas au point un système d’attelage tractant une petie remorque, charette ou coffre à roulettes pour y loger ses provisions lourdes et encombrantes ?
cela nous ferait moins prendre nos voitures pour aller à l’hyper ou supermarché du coin..
et pourquoi ne développent-ils pas d’avantage les vélos “tandems” pour les rendre moins individuels ?
enfin, pourquoi les entreprises de ce secteur ne s’unissent-elles pas pour promouvoir le vélo, telle que l’industrie laitière en son temps ?
L’industrie du vélo doit redoubler de dynamisme pour gagner du terrain sur le “tout-automobile”.

7 Votes | Moyenne: 4 sur 57 Votes | Moyenne: 4 sur 57 Votes | Moyenne: 4 sur 57 Votes | Moyenne: 4 sur 57 Votes | Moyenne: 4 sur 5 (7 votes, moyenne: 4)
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 co-voiturons au travail

Par muller le 18 avril 2007
Thème(s) : Transport
Mots clés :

ACTION SUR LE CO-VOITURAGE :

« CO-VOITURONS » AU TRAVAIL

I Introduction :

Aujourd’hui, l’automobile pose un certain nombre de problèmes en ville :
- engorgement des axes routiers
- conséquences sur la santé et sur la qualité de l’environnement en raison de la pollution atmosphérique et sonore.

De plus, le coût d’utilisation d’un véhicule apparaît de plus en plus élevé car subordonné au coût énergétique. Ce dernier, désormais élevé, entraîne une part de plus en plus importante dans le budget des ménages, et nécessite par conséquent des changements dans les modes de déplacements quotidiens.

Les transports en commun représentent une alternative intéressante à ces inconvénients majeurs, mais présentent des contraintes de confort, de flexibilité et de couverture (particulièrement pour relier une banlieue à une autre) pour toute une part de la population.

Les voitures, très utilisées, engorgent les villes et ne transportent essentiellement que le conducteur. Selon une étude de l’Observatoire Economique et Statistique des Transports, la majorité des déplacements se font sur des distances inférieures à un kilomètre avec bien souvent une seule personne à bord. Pourtant, la plupart des véhicules peuvent accueillir trois ou quatre passagers. Des questions se posent alors. Pourquoi alors ne pas partager nos voitures ? ne pas mutualiser nos « quatre roues » ?

II Présentation de l’opération : « co-voiturons » au travail :

L’idée de partager ses trajets quotidiens en voiture semble avoir beaucoup d’atouts, mais la problématique réside dans la mise en place, l’organisation du co-voiturage ; qui autour de moi est prêt à partager son véhicule ? comment le saurais-je ? où les automobilistes se rendent-ils ? comment pouvons-nous nous organiser ?

L’opération « co-voiturons » répond en grande partie à cette problématique. En effet, cette action permet de faire se retrouver les personnes qui souhaitent co-voiturer avec un minimum d’organisation.

III Mise en place de l’opération : méthodologie.

1/ Sur le lieu de travail

Dans la plupart des administrations ou grandes entreprises, un salarié automobiliste ne connaît pas nécessairement ni le lieu de domicile ni les horaires de tous ses collègues, ainsi que leur trajet emprunté pour se rendre au même endroit. Pourtant sans qu’on le sache un ou plusieurs collègues du même ou d’un autre service peuvent emprunter le même trajet que nous aux mêmes heures. Alors pourquoi ne pas co-voiturer ?

L’idée de l’opération est de faire se rencontrer de façon conviviale des personnes d’un même lieu de travail, pour partager leur véhicule.

L’opération consiste à ouvrir un registre à la sortie des entreprises ou des administrations.
Ce registre « papier » à la disposition des salariés serait tenu par le comité d’entreprise/d’administration ou par l’accueil de l’établissement.

Les personnes volontaires qui souhaitent y participer s’inscrivent sur le cahier, en indiquant leurs nom, service, numéro de téléphone portable ou professionnel, ainsi que la ville de leur domicile ou la(les) ville(s) desservie(s) (axe emprunté), leurs horaires d’arrivée et de départ et la capacité d’accueil de leur véhicule. Les automobilistes une fois inscrits consultent régulièrement le registre qui s’étoffe, afin de trouver des destinations et horaires communs d’un ou plusieurs collègues. Le but est de trouver des binômes, trinômes…

Une fois les contacts pris et équipes de co-voiturage formées, une organisation simple se met en place entre les participants ; par exemple, chaque participant d’une équipe de quatre utilisera sa voiture une semaine sur quatre, à tour de rôle, et divisera ainsi le coût d’utilisation de son véhicule par quatre…

2/ La mise en forme du registre :

Le registre tenu sur un simple cahier est constitué d’un index regroupant les villes desservies. Le participant inscrit dans l’index la ville où il demeure et/ou qu’il dessert, ou près de laquelle il demeure si il s’agit d’un bourg ; il renseigne à la suite ses nom et prénom, son service d’appartenance, son numéro de téléphone portable ou professionnel, ses horaires de départ du domicile et d’arrivée le matin, et ses horaires de départ du travail.
Exemple : une administration située à CRETEIL (94) :

VILLES : P NOM PRENOM SERVICE TEL. DEPART ARRIVEE RETOUR PLACES
PONTAULT (77) DURAND Jacques X 06…. 07H45 08H45 17H00 2
PALAISEAU (91) MARTIN Pierre Y 01… 07H00 08H00 16H30 5
PONTAULT (77) DUPUIT Bertrand Z 06.. 07H45 08H45 17H00 7
PALAISEAU (91) MERLAN Jean U 06… 07H00 08H00 16H30 4
VILLES : F
VERSAILLES-FRESNES DUPOND Bernard V 06.. 05H30 06H15 15H00 5
FRESNES RENE Marie W 06.. 06H00 06H15 15H00 4

Nous sommes ici en présence de trois binômes qui sont volontaires pour partager leur véhicule ; ils ne travaillent probablement pas dans le même service, mais sans le savoir ils ont des destinations et horaires communs. Concernant les horaires, une adaptation peut toujours être discutée au sein des participants ; par exemple, si une personne a des horaires de 20 minutes plus tôt qu’une autre, un compromis pourra certainement s’opérer.
Il suffit alors à ces personnes de se contacter et d’organiser leur point de rencontre en début de journée.

IV : CONCLUSION :

Le co-voiturage, basé sur le volontariat, présente des avantages multiples pour les participants qui réduisent le coût d’utilisation de leurs véhicules respectifs (carburant, entretien..). De plus, il permet de joindre l’utile à l’agréable, en développant les relations au travail.
Ce système qui peut donc être mis en place avec un minimum d’organisation, pourra voir au terme d’une phase expérimentale, sa forme modifiée, par l’utilisation du serveur intranet.
Il paraît même intéressant d’envisager par la suite un co-voiturage de proximité qui pourrait se développer dans les communes de la même façon.
G.MULLER

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 La voiture électrique

Par gdid95 le 16 avril 2007
Thème(s) : Transport
Mots clés :

LA VOITURE ELECTRIQUE

La plus belle invention de l’homme après la roue et l’écriture c’est l’électricité.
Grâce à elle on a pu éclairer les villes, développer l’industrie, communiquer et motoriser la plupart de nos tâches.
Il serait bon de continuer dans cette direction en électrifiant le véhicule le plus utilisé : la voiture automobile.

Comment ?

• Dans un premier temps :
Construire des voitures électriques de parcours urbains (100 Kms d’autonomie) équipées individuellement de chargeurs de batteries à bord.
Equiper les parkings ou autres lieux de stationnement de branchements électriques permettant de recharger les batteries les voitures pendant leurs arrêts (prises de courant).
Equiper les voitures de compteurs électriques ainsi que de batteries interchangeables et normalisées propriétés exclusives du distributeur(EDF ou autres). La facturation se ferait au kW/h consommé, ce qui éviterait à l’utilisateur de payer à tout moment ; L’échange des batteries serait gratuit car il serait compris dans le prix du kW/h facturé au propriétaire du véhicule.
Pour faciliter l’échange des batteries il faudrait équiper les véhicules de porte batteries très accessibles et de fixer les batteries sur des petits paniers à roulettes. Il suffirait de tirer deux rails rétractables, de débrancher les batteries, de les sortir en les faisant coulisser sur un transpalette adapté et prêté par le dépositaire, de déposer les batteries au lieu de recharge et de les échanger par des batteries rechargées prêtes à être utilisées .Le temps du changement ne devrait pas durer plus de 5 minutes et pourrait être exécuté par des personnes sans compétences particulières.
L’entretien et la remise en état des batteries seraient assurés par le distributeur (même principe que les bouteilles de gaz domestique).Il suffirait qu’il soit mis en place un réseau de distribution dense pour ne pas avoir de problème d’approvisionnement (dans chaque commune, dans toutes les stations service, sur les parkings des grandes surfaces ou publics, etc.)

En rêvant un peu, pourquoi ne pas prolonger ce principe sur toutes les routes de France et d’Europe en installant partout des dépôts de batteries tenu par des commerçants (garages,bureaux de tabac, bureaux de poste ou autres).

• Dans un deuxième temps :
Equiper les grandes voies de circulation de bandes de roulement conductrices d’électricité alimentant les voitures par le contact de pneus conducteurs. Ainsi l’autonomie serait augmentée au fur et à mesure que les voies de circulations s’équiperaient. De ce fait les voitures pourraient être allégées en diminuant la quantité de batteries transportées.
Ce procédé permettrait de continuer de circuler sur ces mêmes voies avec les voitures actuelles à essence, le temps que le parc de ces voitures à essence soit remplacé. Evidemment, ces voies de circulation seraient couvertes (par une toiture en panneaux solaires par exemple) ce qui les protègerait des intempéries. (Voir mon projet d’autoroutes et de voies à grande circulation).
En combinant ces trois moyens de fourniture d’électricité (Prises de courant sur les lieux de stationnement, remplacement des batteries dans les dépôts et bandes de roulement sur les grandes routes) le problème du remplacement des batteries ne se poserait que pour des petits trajets ruraux. Les lieux de dépôt pourraient être réduits au fur et à mesure que l’électrification des routes avancerait. Le poids des batteries transportées pourrait redevenir raisonnable.
Tous ces équipements seraient financés par le distributeur d’électricité (EDF ou autres). Celui-ci se rembourserait en facturant le véhicule sur l’électricité consommée. Ce relevé de consommation pourrait se pratiquer de la même façon que pour l’électricité domestique, c’est-à-dire au compteur électrique du véhicule.

En conclusion :
L’alimentation électrique de la voiture se ferait par trois moyens différents et complémentaires :
• Les prises électriques que l’on trouverait sur tous les lieux de stationnement.
• Les batteries transportées qui seraient interchangeables très rapidement.
• Les bandes de roulement sur les chaussées qui permettraient une alimentation directes du moteur et un rechargement permanent des batteries de la voiture pendant ses déplacements.

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 Transport par containers

Par gdid95 le 16 avril 2007
Thème(s) : Transport
Mots clés : , , ,

LE TRANS PORT DE CONTAINERS

OUI au ferroutage dans un premier temps, mais pourquoi transporter le camion, son chargement et le chauffeur quand on peut transporter tout simplement que la marchandise dans des containers.
Il faut standardiser et banaliser les containers de marchandises de façon à ce qu’ils puissent être transportés aussi bien sur des camions, des bateaux ou des wagons de chemin de fer.
Il faut remplacer les poids lourds par des véhicules à plateformes spécialisés pour le transport des containers entre l’entrepôt et la gare ferroviaire de marchandises qui sera située loin des agglomérations et de la circulation urbaine.
Il faut créer dans les entrepôts, les gares routières et les gares de chemin de fer marchandises des installations qui permettront le transfert rapide des containers d’un moyen de transport à un autre (du camion au wagon et vice et versa par exemple).
Avec la création de lignes de TGV marchandises les temps de transport seraient considérablement réduits et la gaspille d’énergie aussi.Les PL disparaîtraient progressivement des grandes voies routières

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 TGV VOYAGEUR ET TGV MARCHANDISES

Par gdid95 le 16 avril 2007
Thème(s) : Transport
Mots clés : , ,

PROJET DE VOIES FERREES TGV ET TGVM

Il faut améliorer le trafic TGV voyageurs international (le trajet de Madrid à Berlin à des vitesses voisines de 300 k/h soit en moins de 20 heures par exemple) et créer le TGV de transport des marchandises par containers et des voitures.
Comment ? :
1. Doubler les lignes actuelles (4lignes au lieu de 2) pour permettre la circulation des futurs trains pouvant assurer des transports rapides et de longues distances (TGV et TGV Marchandises) et les prolonger sur toute l’Europe.
2. Créer des gares de marchandises en dehors des grandes villes distantes de 500 Km environ et rapprochées des gares routières et entrepôts de façon à réduire considérablement les parcours routiers.
3. Construire des trains spécifiques au transport rapide et de longues distances de containers ou de voitures. Adapter tous les camions pour le transport de containers sur courtes distances (maximum 500 Km par exemple). Ce procédé très coûteux remplacerait le ferroutage qui en plus des marchandises transporte le camion et le chauffeur
4. Couvrir les voies ferrées de panneaux solaires (1000mX50m=50000m2 par kilomètre).
5. Installer des éoliennes sur les toitures sur toute la longueur des voies (une éolienne tout les 50mètres = 20éoliennes au kilomètre). .
6. Installer des systèmes de récupération des eaux de pluie sur toute la longueur des voies pour les envoyer vers des zones de recyclage et de redistribution.
7. Installer les lignes de haute tension sous le toit pour les protéger des intempéries (les installations actuelles disgracieuses disparaîtraient peu à peu de nos paysages).
8. Créer des pipelines qui permettraient le transport des fluides en toute sécurité (huiles, hydrocarbures, gaz, eaux etc.)
9. Remplacer les caténaires par des rails électriques (maintenance moins coûteuse et durée d’usage beaucoup plus longue).
Pour les lignes nouvelles, il faudrait envisager de les construire partiellement sur pilotis afin de ne pas nuire à la circulation rurale ni au passage de la faune.
Pour la construction des grandes lignes internationales TGV et TGVM, il serait souhaitable que le cahier des charges et le suivi des travaux soient pris en compte par la communauté européenne qui deviendrait le maître d’œuvre.
En conclusion :
Tout cela coûtera très cher, mais rapportera gros: grosse réduction de GES, moins de poids lourds sur les grandes routes, fabrication d’électricité par des énergies renouvelables sans nuisances pour l’environnement, récupération de l’eau de pluie, transport des fluides par pipelines, etc.

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 avant d’inciter à ne pas polluer, ne plus inciter à polluer

Par heyben le 15 avril 2007
Thème(s) : Transport
Mots clés : , ,

Les déductions fiscales, frais de transport sont encore (de façon surprenante, à mon goût) “indexés” sur la puissance fiscale du véhicule. Une prime à la consommation.
Cela est presque (je n’ai pas fait les calculs) rentable d’avoir un véhicule puissant qui consomme.

Arrêtons d’inciter à polluer avant d’inciter à ne pas polluer.
(ce qui ne signifie absolument pas qu’il ne faille pas avant d’inciter à ne pas polluer)

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