12. Emission de GES par Kwh pour différents types d’usages

Par mediateur le 29 mai 2007
Thème(s) : Rôles nucléaire et énergies renouvelables
Mots clés : ,

Nature : Accord sur des ordres de grandeur
Avertissement : Ces données sont fondées sur une étude rétrospective couvrant la période 1998-2003 (Note de cadrage ADEME sur le contenu CO2 du KWh par usage en France), elles sont susceptibles d’évoluer.

- Usages permanents (consommation d’énergie de base) comme par exemple congélateurs : 40g eq. CO2 / Kwh
- Maximum de contenu en CO2 d’un usage (usage en période de pointe couverte par une centrale au charbon) : 700g eq. CO2 / Kwh
- Moyenne : 60-70g eq. CO2 / Kwh
- Chauffage électrique en moyenne sur l’année : 180g eq. CO2 / Kwh (dus au fait que l’usage se produit souvent en période de pointe)

But de la discussion

Les propositions issues de l’atelier “Quelle part pour les différentes sources d’énergie ?” sont d’une nature un peu particulière (voir la synthèse des débats de la phase 1 sur ce thème). Elles font le constat de l’état du débat et suggèrent la manière de le faire avancer dans l’avenir.

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 Intéressant et durable le compostage organisé ?

Par romu le 12 avril 2007
Thème(s) : Modèle énergétique
Mots clés : , ,

J’ai pas vraiment d’opinion tranchée sur ce que je vais exposer ici, mais c’est un débat non ??

Je suis assez surpris de voir toutes les promotions actuelles sur des systèmes de compostage individuels. Le compostage c’est bien la décomposition de matière végétales, ce qui produit 2 choses importantes :
- Du compost, un engrais végétal naturel
- Du méthane, 23 fois plus à effet de serre que le CO2.

Si j’ai donc bien tout compris, les pubs et les prix promotionnels fleurissent un peu partout pour un truc abominable pour notre climat.

Ne serait-il pas, par contre, intéressant d’organiser ça à l’échelle d’une commune ? Cela permettrait de produire du compost qui servirait à l’entretien des espaces verts publics en lieu et place des produits chimiques, et de distribuer les éventuels restes de compost au particuliers résidants de la commune.

Mais ne peut on ainsi envisager de faire fonctionner des générateurs d’énergie avec le méthane dégagé par le procédé ? Car cela serait une bonne source d’énergie renouvellable.

Je suis nul en chimie et ne maîtrise pas le bilan GES d’une telle chaîne chimique, mais certaines savent surement ça, alors à votre bon coeur.

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 Une carte de vos propositions sur le thème des transports

Par mediateur le 9 avril 2007
Thème(s) : Autour du débat, Transport
Mots clés : , , , , , ,

Chers participants au débat,

Voici une nouvelle carte détaillée, sur le thème des transports. Nous y avons listé et classé les propositions reçues à ce jour. Celles-ci portent pour une large part sur les politiques publiques à mettre en oeuvre. Les comportements, les solutions techniques susceptibles de réduire la demande d’énergie et les émissions de GES sont discutés dans une moindre mesure. Chaque boîte de la carte présente une liste des propositions ainsi que les liens vers des discussions représentatives.
Vous pouvez consulter cette carte en suivant ce lien ou depuis la carte du débat en cliquant sur l’icone “carte en relation” dans la boîte “transports”.

Bonne continuation,

L’équipe d’animation du débat MDE

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 Une carte des analyses sur l’impact des énergies “variables” sur les émissions de GES

Par mediateur le 6 avril 2007
Thème(s) : Autour du débat, Rôles nucléaire et énergies renouvelables
Mots clés : , , , , , ,

Chers participants au débat,

Nous avons produit une carte pour visualiser les paramètres qui influent sur l’impact d’une introduction d’énergies à production variable sur les émissions de gaz à effet de serre (GES) et donner accès aux analyses sur ce sujet. L’essentiel du contenu de la carte est dans les textes associés à chaque “boîte” qui y apparait. On accède à ces textes en cliquant sur la petite icône texte. Nous espérons que la carte sera utile à chacun pour se forger sa propre opinion, et peut être à tous pour identifier des zones de consensus partiel. Nous avons fait un effort important pour que les points de vue et analyses disponibles soient bien représentés et éclairés.

Bonne continuation,

L’équipe d’animation du débat MDE
(Philippe Aigrain pour cette cartographie)

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 Efficacité des mesures

Par titijt le 6 avril 2007
Thème(s) : Consommation, décroissance, Aménagement, urbanisme, production
Mots clés : ,

Le problème des gaz à effet de serre est un problême différent de celui de tous les autres polluants atmosphériques. Jusqu’à présent, la société a eu à faire face à des défis localisés. Un voiture qui rejetait des NOX ou du SO2 posait surtout un problème de santé publique dans l’agglomération où circulait cette voiture. Après quelques années de recherche, les moteurs se sont améliorés fortement de ce point de vue. On peut donc toujours faire quelque chose (à condition que ce soit imposé par des normes (Euro 1,2,3 et 4….)). Reste que le niveau de pollution ne décroit pas mais il s’agit d’un autre débat car si les voitures polluent 2 fois moins, il y en a deux fois plus….

Dans le cadre des GES, le problème est global. Chaque molécule de Co2 produite en Chine comme en France a le même impact sur l’avenir et non la santé de l’ensemble des espèces de la planète. Le défi est autrement plus important car tant la cible que le responsable se moquent éperdument des frontières.

De même que la mondialisation s’est imposée aux décisions économiques planétaires (et même individuelles : licenciements et délocalisation) elle s’impose aux impacts environnementaux. Comment résoudre le problème sans mondialiser les solutions ? Surtout si l’on reprend en compte la composante rentabilité économique de ces solutions.

Un exemple. On parle beaucoup de lampes à basse consommation d’énergie. C’est bien. Mais on en parle pour dire que tous les français doivent en avoir chez eux. Vu le coût de chacune de ces ampoules, c’est dommage.

Compte tenu de la part de nucléaire dans la production électrique nationale, chaque kWh est produit contre 90 g de CO2 (c’est désormais un attrait supplémentaire du nucléaire qui outre le faible coût de production et l’indépendance énergétique s’impose dans nos choix énergétiques de demain). Un kWh d’électricité thermique entraîne un rejet allant jusqu’à 10 fois plus de CO2.

Il serait donc, pour les 8-10 euros que coute une ampoule, 10 fois plus productif en matière de baisse des émissions d’installer cette ampoule chez un chinois qui utilise de l’électricité faite au charbon.

Il en va de même sur des équipements plus lourds. Il serait plus logique d’investir 10 millions d’euros pour remplacer une chaudière vétuste dans une briquetterie du Brésil que pour améliorer un chaudière récente en France qui a bénéficié d’améliorations technologiques et offre un rendement supérieur, même si elle reste perfectible. Le rendement en terme de baisse d’émissions de GES par euro peut être multiplié et c’est ce qui compte.

L’objectif à atteindre est de ramener le niveau des émissions planétaire à celui des années 50 pour que les mécanismes naturels compensent les émissions (si ils n’ont pas été endommagés par les errements récents comme la déforestation par exemple). Il y a du boulot !

De nombreuses organisations proposent leur intermédiaire pour permettre aux « écocitoyens » volontaires de compenser financièrement leur CO2. Ces organisations utilisent cet argent selon ce principe et financent des projets de par le monde. Pour quelques centaines d’euros, on peut compenser totalement l’impact en matière de GES de sa famille (électricité et transports).

Si l’objectif est de baisser le niveau global de CO2 et si l’on dispose de moyens financiers pour ce faire, il est donc plus efficace d’employer cet argent là où il y en a le plus besoin.

Un moyen plus efficace de promouvoir de telles initiatives serait de permettre de défiscaliser totalement les dons apportés à de telles organisations. Le plafond annuel de la défiscalisation accordée pourra être en plus ajusté pour correspondre à un niveau de compensation de CO2. Le contrôle du fonctionnement des organismes de compensation pourra se faire au travers d’agréments prenant en compte un ratio de rendement minimal de l’argent employé et pourra intégrer une obligation de préférence nationale ou communautaire dans le choix des prestataires retenus pour procéder aux travaux ainsi financés.

L’avantage d’une telle mesure serait qu’elle permettrait d’aiguiller des flux financiers vers des pays majoritairement en voie de développement. Les critères d’éligibilité de ces projets permettraient de financer des équipements publics. Reste à se poser la question de l’opportunité d’intervenir sur des installations privées, ce qui pour des questions de logique pourrait aussi se faire mais au travers de prêts sans interêts.

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 Etiquetage CO2 et autres GES

Par titijt le 5 avril 2007
Thème(s) : Transport, Consommation, décroissance, Aménagement, urbanisme, production
Mots clés : , , ,

Je rebondis sur la contribution de fthanron de procéder à un étiquetage du cout energetique des produits de consommation….

C’est une très bonne idée qui mérite d’être développée.

La société telle qu’elle est actuellement démontre son incapacité à préserver l’environnement. Seule la rentabilité économique entre en ligne de compte dans les prises de décisions qu’elles soient individuelles ou d’entreprises ou même d’état. En gros, l’environnement est pris au piège de la logique économique puisque le cadre légal le veut ainsi.

En tant que résidant guyanais, un exemple frappant de ce qui précède est fourni par du ….riz. Traditionnellement, en Guyane, on produit du riz. Jusqu’à un passé récent, plusieurs compagnies se partageaient les rizières. Depuis quelques années, un groupe international espagnol a pris pied localement en rachetant une de ces entreprise, puis une autre….

L’immanquable s’est produit, par souci de rentabilité, on a fermé une des deux usines. Celle qui reste ne permet pas de produire du riz blanc (alors que l’autre le pouvait) est restée en activité.

Jusqu’alors, le riz guyanais était produit localement et emballé et alimentait le marché local, le surplus étant exporté. Les cartes ont changé. Désormais, on expédie le riz en Espagne où il est débarassé de son enveloppe et est empaqueté avant de retraverser l’atlantique pour se trouver dans les étalages guyanais.

Mais voilà, c’est plus rentable comme ça (économiquement et seulement économiquement bien sur).

A ce niveau intervient l’affichage du cout environnemental du produit. Toujours dans le cas de notre riz, la note serait salée mais le coût de production du riz de par le monde (main d’oeuvre et réglementation environnementales souples) est tellement faible que je ne vois pas comment par le seul affichage on fera changer les habitudes de la société (il s’agit même ici de son mode de fonctionnement). Seuls quelques “engagés” seront prêts à payer des produits propres plus chers.

Si l’on fait un parallèle avec le tabac, l’affichage en caractères gras de “fumer tue” est beaucoup moins efficace pour dissuader les fumeurs que l’augmentation des taxes. Je ne dis pas qu’il faut faire de même pour l’environnement puisqu’il existe une alternative…Il n’existe pas de tabac bon pour la santé mais en faisant évoluer les modes de fabrication des produits, on peut en diminuer l’impact. Toujours est-il que ce qui oriente les choix est l’argument financier. La solution est a mon avis hybride et consiste à touver un équilibre en augmentant le prix des produits “sales” et en baissant celui des produits propres pour les rendre plus attractifs que les premiers.

Dans ce cas, la créativité des fabriquants sera libérée et la baisse des couts de productions e l’augmentation perpetuelle des marges qui nous gouverne sera mise contrainte et forcée dans la direction du développement durable.

Dans un premier temps, l’affichage serait interessant mais devra rapidement évoluer pour constituer un support d’assiette de taxe (pourquoi pas la TVA indexée sur un indice environnemental permettant de moduler de 0 à 33%).

Reste à savoir ce que l’on prend en compte dans cet indice. Si l’on reprend encore l’exemple de notre riz : il est officiellement produit en Espagne. S’arrêter à considérer l’énergie de l’usine Espagnole et le transport retour, on passe à coté de nombreux paramètres :

- Le trajet aller. Cet indice doit prendre en compte l’indice de toutes les matières premières entrant dans le produit final en production et transport. Matière première qui en cascade répercutera et cumulers l’ensemble des indices de ses sous-matières premières. Cela devrait rapidement inciter les producteurs à réfléchir à la distance de leurs approvisionnements pour améliorer leur rentabilité.
- Dans les coûts de production, devront être intégrés le cout environemental des personnels et bureaux (chauffage…), bref, tout ce qui touche à l’entreprise et notamment les couts des déplacement domicile-travail des employés et leurs déplacements professionels. Cela ouvrira des voies d’amélioration sociale ( télétravail, organisation de transports collectifs) et permettra d’intégrer au processus environnemental les activités de services.

A ce moment là, l’économie se retrouve prise au piège de l’environnement qui devient l’enjeu de rentabilité économique et de concurrence sans que les prix évoluent de manière sensible.

Avec quelques mesures fiscales, on peut redresser la barre en ayant toutefois ménagé un temps d’adaptation nécessaire à la mise en place d’un indice fiable.

Si seulement les pays riches (europe, amérique du nord japon) mettent en place de tels dispositifs, ces pays consommant la majorité des produits du monde, la mondialisation de l’orientation de la concurrence serait inévitable et rapide.

Même si un système plus efficace qu’une TVA à reimaginer existe (mise en place d’un quota individuel de CO2 fondé sur l’indice précité) il imposerait une double comptabilité (monétaire et CO2) utopique à mettre en place bien qu’il permettrait au travers d’une bourse mondiale de conduire à des transferts d’argent des pays consommateurs vers les pays sous-consomateurs assistant leur développement (fondement du développement durable) développement se faisant au travers de produits optimisés environnementalement puisque la recherche et développement des pays industrialisés tournerait à plein régime.

En résumé, en dessous des lipides (nocifs à notre santé), une ligne gaz a effet de serre (nocifs à celle de nos enfants présents et à venir) mais qui sert à déterminer le prix final du produit ce qui se révèlera plus efficace qu’une ligne goudrons d’un paquet de cigarette à bas prix.

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 Quelle priorité : climat OU énergie ?

Par Herrmiss le 4 avril 2007
Thème(s) : Autour du débat, Consommation, décroissance
Mots clés : , ,

Ce débat perpétue malheureusement une confusion habituelle entre maîtrise de l’énergie et préservation du climat.

S’il est généralement vrai qu’au quotidien consommer moins d’énergie, quelle qu’elle soit, implique une réduction des émissions de gaz à effet de serre, ce n’est plus du tout vrai quand il s’agit d’investissements. 2 exemples suffiront à le démontrer :

- Au niveau industriel : la capture et l’enfouissement du CO2 issu de grandes installations de combustion implique une consommation accrue d’énergie pour récupérer le CO2 dans les gaz de combustion, le transporter jusqu’au lieu d’enfouissement en profondeur et le comprimer pour l’y injecter. C’est donc au prix d’une consommation énergétique facilement augmentée de 20% qu’on va ainsi éviter le rejet de grandes quantités de GES et réduire la dégradation du climat !

- Au niveau individuel : 2 étiquettes différentes “consommation d’énergie” et “rejets de GES” viennent d’être instituées pour les logements des particuliers. Cette distinction est bienvenue, car il est aisé d’améliorer le classement “effet de serre” en dégradant le classement “énergie” : il suffit, toutes choses égales par ailleurs, de remplacer un chauffage au gaz par une pompe à chaleur électrique ! Dans le calcul “énergie”, l’électricité est en effet pénalisée par un calcul en “énergie primaire” qui impose un coefficient multiplicateur de 2,58, alors que son usage va induire un gain climatique considérable.

Je souhaite donc que ce débat soit très vite clairement recadré : la priorité est-elle à la limitation du réchauffement OU à la baisse de la consommation d’énergie ? IL FAUT CHOISIR, on ne peut pas courir deux lièvres à la fois, même s’il leur arrive de faire un bout de chemin ensemble !

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 Facteur 4 ou plus?

Par jp-42 le 3 avril 2007
Thème(s) : Consommation, décroissance
Mots clés : , ,

Le CO2 et autres GES sont le problème
donc taxer à mort les GES mais de façon progressive
=>Régulation par les prix
=> le mouton néo-zélandais devient 20 fois plus cher que le français
=>la chaussure indonésienne plus chère que la française.
=>on résout tous les problèmes de délocalisation
=>tant pis pour le tourisme de masse. Le bateau et le train seront de rigueur.
=>on relance les voiliers; d’ailleurs, ça a déjà commencé pour la pêche bretonne
=> l’activité économique va se décentraliser et se répartir sur le territoire pour limiter les coûts exorbitants de transport, le travail aussi
=> on résout quelques problèmes d’aménagement du territoire et d’urbanisme!

Bref, tout le monde va faire des économies d’énergie où il peut.

Pour arriver au facteur 4, suffit de bien doser la taxe…

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 Eolien et émissions de gaz à effet de serre

Par mediateur le 22 mars 2007
Thème(s) : Modèle énergétique, Rôles nucléaire et énergies renouvelables
Mots clés : , , ,

A la suite de contributions et commentaires discutant du bilan en termes d’émissions de gaz à effet de serre (GES) des installations éoliennes, l’ADEME nous a demandé de mettre en ligne une fiche d’information sur ce sujet Si vous souhaitez y réagir, faites-le en réponse à la présente contribution.

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