Sources individuelles de production d’énergie
Par fbt58 le 6 mars 2007
Thème(s) : Modèle énergétique
Mots clés : énergies renouvelables
Pensez-vous que multiplier les sources individuelles de production d’énergie (ex : panneau solaire photovoltaïque pour produire de l’électricité, installation solaire thermique pour produire de l’eau chaude sanitaire) pour aller vers un système ou chacun d’entre nous serait producteur d’énergie correspond à un avenir possible et souhaitable ?
Oui, je pense qu’il est souhaitable de multiplier les sources locales de production d’énergie car être soit même producteur conduit à une responsabilisation et une prise de conscience. Même s’il s’agit que de production d’eau chaude sanitaire. Mais il existe de nombre solutions exploitables localement : solaires thermique et photovoltaique, eolienne (pas forcement gigantesque), la filière bois, la production de gaz à partir de déchêt organique …
De plus, cela limite le transport de l’énergie, donc les pertes en ligne.
En effet je suis d’accord avec vous mais ne pensez-vous pas qu’il faudrait baisser le prix des éoliennes ainsi que le solaire photovoltaique…
Il y a quelques semaines nous avons un petit tout sur internet pour consulter les prix des eoliennes et cela dépasse l’entendement…
Il faudrait une politique volontariste et de grosses incitations fiscales pour que nous puissions acheter ces moyens écologiques…
Par contre nous sommes depuis longtemps équipés de chaudière à bois.
En effet la production de chauffage au bois est beaucoup plus simple et moins couteuse que le choix à d’autres énergies renouvelables.
La baisse d’un tiers du solaire thermique permettrait une large diffusion des chantiers d’installation (sondage informel dans mon cadre professionnel).
Enfin le développement de techniques peu couteuses comme les puits canadiens serait aussi à envisager dans les projets de constructions neuves afin d’un choix judicieux de VMC….ainsi qu’une formation et une motivation des constructeurs “classiques”….
Est-ce que, plutôt que des incitations fiscales, qui ont un effet “en retard”, il ne serait pas mieux d’être simplement aidé par des subventions, comme ça se fait en Califonie? Car les incitations fiscales font qu’il faut tout de même investir la somme complète, avant de recevoir l’aide. Et ce n’est pas possible pour beaucoup de gens.
les subventions existent
nous venons d’installer un systeme photovoltaique
cout: env 30000 euros
avoir fiscal: env 10000 euros
aide directe de la Region:10500 euros
cout réel individuel:10000 euros pour une production estimée à 4-5000 kws annuel
concernant les éoliennes,il faudrait commencer par faire cesser le délire sur leurs soi-disantes nuisances,bruit et esthétique
perso,je trouve ces grandes fleurs blanches très belles
j’aime le son du clocher,les sifflets des hirondelles,et le feulement éolien,bien moins génant que les pétaradant moteurs de tous engins
Vaste question.
La réponse générale est sans doute “Oui”. Mais il me semble qu’il faut y mettre un certain nombre de bémols. Exemple : supposons que le chauffage au bois se développe anarchiquement et s’en sera vite fini des quelques lentilles boisées qui subsistent encore, en dehors des grandes forêts protégées et gérées par l’ONF; j’invite ceux qui en doutent à faire un tour, par exmple, en Beauce.
De la même façon, si tout un chacun pouvait équiper son bout de rivière pour produire son électricité, imaginons l’impact sur l’équilibre des bassins et sur nos pauvres poissons …
J’imagine donc :
- Un plan directeur national, voire international, avec quelques grands critères infrangibles, comme Maestricht, mais non exécutoire.
- Un schéma exécutoire local, niveau région … pour aller à municipal, type POS ou PLD, qui définisse les meilleures sources (il me paraît évident que la Beauce n’aura pas les mêmes sources que la Savoie, ou le midi Carcassonnais) et en gère localement l’équilibre, au regard des autres contraintes.
Quant aux incitations et subventions individuelles fiscales ou autres, je suis contre car cela ne fait qu’introduire des perversions. Un produit a un prix. Il faut en payer le prix. C’est aux acteurs industriels de trouver les solutions (techniques, technologiques, appui des plans nationaux ou extra de R&D, etc.) qui leur permettront de vendre leur produit si le marché d’accueil existe.
Produire et consommer soi même son énergie, au minimum l’eau chaude sanitaire, allège la charge sur le réseau, réduit la consommation de déchets nucléaires (pour la France) et de CO2 quand le nucléaire ne suffit pas à la production
- rappel 1 kw/h pour un ballon d’eau chaude nécessite la production de 2,5 kw/h en charbon ou pétrole quand le nucléaire n’a pas assez d’eau froide (canicule, été, sècheresse …) pour produire !
PROBLEME : juridique, nombre de copropriétés, immeubles ou résidences de pavillons, interdisent le solaire car cela nuit à l’esthétique de la résidence.
INFO : le gouvernement de Californie a lancé un plan 1 million de foyers équipés en solaire sur les 3 prochaines années infiniment plus simple et plus efficace que la lourdeur administrative française, spécialement celle de ADEME - renseignez vous !
pour réagir à ymir:
je ne pense pas que sans subventions, nos superbes industriels/pollueurs s’embètent trop; il me semble évident que les subventions ne sont que temporaires, et ne sont là que pour doper le demande, faisant donc baisser les prix, augmentant la concurence…
Autre point :
il existe tant de sites pour aller pécher des renseignements, parfois farfelus; cela va du moteur à eau de Pantone à l’éolienne sans vent…
Ne serait-il pas du role de l’ADEME de proposer des liens vers des sites fiables, vers des produits garantis et abordables; de faire le point sur les produits (où en est-on de l’énergie produite à partir de nos déchets verts, peut-on en faire désormais; de quels matériaux polluants sont faits certains panneaux voltaiques…)
L’individualisation des productions d’energie semblent à premiére vue une solution mais elle à ses défauts et contrainte:
La premiére est que tout indivudu ne sera “pas logé à la méme enseigne” en d’autre termes création d’une fracture sociale et économique supplémentaire rapport à la non possibilité financiére et technique de certaine personne
Le non controle possible de la génération de ses energies (contrainte technique, conformité, développement anarchique…=
Polution possible de notre environnement (visuel et voir plus)
Economie de marché instable sur les matériels
Marché de l’emploi trés déstabilisé (l’emploi produisant l’energie actuellement ne serait pas compenser par la création d’emploi de production, vente et installation de ces nouvelles sources d’energie)
Par contre au vue de la territiorialisation il serait possible de faire des études non pas sur des systémes individuels mais plutot semi-collectif à production échelle humaine avec possibilité cette fois de controle des environnements
Selon le document “L’ENERGIE: REFLEXION PROSPECTIVE SUR LES CHOIX STRATEGIQUES” présentées lors des “Rencontre Internationale de Prospective du Sénat” qui se déroula au Palais du Luxembourg le Jeudi 10 avril 2003 (url: http://www.prospective.org/upload/WORD/10_avril_2003_L_Energie.doc )
” À l’heure actuelle, une production centralisée d’énergie photovoltaïque présenterait un coût beaucoup plus élevé qu’une production électronucléaire ou à partir de carburants fossiles, mais ce prix pourrait baisser jusque 1,5 € le watt en 2010, et devenir compétitif d’ici 2020. ”
Or l’objet de fond du problème est de penser et de lier l’adaptation de la production au besoin local: Il ne faut plus penser en “unités de production” qui ne produisent qu’un produit, mais en ensemble complexe intégré, localisé capable de redistribuer ses surplus. c’est l’avantage des réseaux de coupler le local au général.
En mettant en place un “indice de contextualisation”, il devient évident que la mesure de l’efficacité énergétique pour la satisfaction d’un besoin devient le critère central permettant toute comparaison et réflexion :
Quelques exemples d’illustration :
- Faire tourner la (les) pompes de son Système Solaire Combiné, ou sa VMC double flux à partir d’une source de production centralisée avec un COP global de 0,4 pour une origine centralisée [1 kwh à l’usage / 2,5 kwh à la source ]
Avec un COP de 1 (dans le cas d’une production localisée), même si le rendement n’est pas formidale (15 % de l’énergie reçue, Cependant La société Boeing-Spectrolab vient de mettre au point des modules photovoltaïques dont le rendement atteint 40,7 %.)
mais avec un indice de pertinence proche de 100 % = la pompe tourne lorsqu’il y a du soleil qui chauffe les panneaux. Ceci est amortissable avec du photovoltaïque financièrement et Co2Compensable.
- Le Chauffage collectif à partir du solaire couplé à du photovoltaïque est courant en Suisse: tout est question du dimensionnement.
Marché de l’emploi trés déstabilisé :
Ce qui se passe dans la région de Gussing en province du Burgenland, à l’est de L’Autriche, montre qu’avec une politique locale déterminée sur l’autosuffisance énergétique , est un facteur de dynamisme économique et d’emploi.cf : http://www.planetenergie.org/article.php3?id_article=486
Des pays comme l’Allemagne, l’Autriche ou la Suisse ont déjà fait de sérieux efforts pour les énergies renouvelables et la production décentralisée. Pourtant , cela n’a sensiblement modifié ni la structure de leur approvisionnement énergétique, où la proportion de combustibles fossiles n’a pratiquement pas varié, ni leur consommation par habitant. Avant de se lancer dans ces directions , ne serait-il pas utile de faire une estimation quantitative en l’état des techniques de leurs possibilités réelles sur le territoire français , région par région? Je n’ai vu dans ces domaines que des états forts vagues et marqués idéologiquement, mais je n’ai peut-être pas bien cherché. Voilà du travail pour l’ADEME.
Effectivement, il est nécessaire de qualifier et quantifier, comme l’a fait Olivier Slider au niveau de la consommation énergétique moyenne des ménages.
Par contre peut on comparer l’accroissement de la consommation énergétique moyenne par tête entre la France l’allemagne et la Suisse ?
Le solaire PV est outrageusement subventionné, avec un taux de retour de l’ordre de 5 ans seulement, sans que ses avantages écologiques soient évidents. Il est faux de dire que c’est une énergie décentralisée car sa rentabilité dépend entièrement de la connection au réseau EDF. De plus le système de crédit d’impôts limité à 8000 euros sur 5 ans et la rentabilité exceptionnelle du solaire PV subventionné, l’avantage à l’égard du solaire thermique et des dépenses d’isolation. Qualques exemples:
Solaire PV:
Coût total: 19000 €, 2000kW, 2000kWh/an. Coût restant pour le promoteur: 5500 Euros. Produit des ventes de courant (à 55 c€/kWh): 1100 €/an. temps de retour: 5 ans.
Coût pour la collectivité: 1,19 €/kWh, Production de CO2 (en France du fait du CO2 produit lors de la fabrication, plus élevé que le CO2 évité par la production): 54g/kWh
Solaire Thermique (Rhone Alpes):
Coût total: 13800 €, 6800 kWh thermiques évités, coût restant pour le promoteur: 7000 €, coût évité (gaz): 238 €/an, temps de retour:29 ans,
Coût pour la collectivité: 0,1 €/kWh, CO2 évité: 224 g/kWh
Isolation (remplacement des huisseries):
Coût total: 8185 €, 10000 kWh évités, coût restant au promoteur 6000 €, coût évite (gaz): 350 €/an, temps de retour : 17 ans
Coût pour la collectivité: 0,02 €/kWh, CO2 évité: 224 g/kWh
Ces chiffres montrent que les politiques de subventions et de crédits d’impôts sont a revoir complètement pour favoriser les investissements les plus efficaces pour réduire les émissions de CO2, dans l’ordre: isolation, puis solaire thermique. Seul le PV en site isolé devrait être subventionné, avec une aide déterminée à l’équipement dans ce domaine des Pays en Voie de Développement en absence de réseau électrique.+
@LENOUVEL,
Voici les valeurs 2004 et 2003 pour la France, l’Allemagne, l’Autriche et la Suisse ( source iea key energy statistics)
Consommation énergie par habitant 2004 : 4,43; 4,22; 4,06; 3,63
………………………………………………………….2003 : 4,41; 4,21; 4,00; 3,66
Emissions de CO2 par habitant 2004 : 6,22; 10,29; 9,19; 5,95
…………………………………………………………. 2003 : 6,33; 10,35; 9,22;5,92
2004 est la dernière année disponible à l’iea, mais vous pouvez trouver les années précédentes.
Comme vous le voyez, les différences d’une année sur l’autre tombent dans la marge d’erreur, quel que soit le pays et quelle que soit leur politique affichée en matière d’énergies renouvelables. Par contre, on voit très bien que la France et la Suisse ont les émissions de CO2 de loin les plus faibles, parce que leur électricité est pour l’essentiel sans émissions de CO2 ( nucléaire+hydraulique ). Pour la même raison, ce sont les pays où le prix de revient de l’électricité est devenu le plus faible.
Il est facile de calculer qu’à l’échelle mondiale, bien qu’elle ne représente que 16 % de l’électricité produite, l’électricité nucléaire évite l’équivalent de 10 % des émissions de CO2 actuelles. En effet, ces 16 % représentent le quart de l’électricité produite avec des combustibles fossiles, laquelle est reponsable de 40 % des émissions mondiales de CO2.Un doublement de la production d’électricité nucléaire éviterait 10 % supplémentaires et ce doublement est possible sans difficultés majeures parce que les pays les plus producteurs de CO2 sont aussi ceux qui maîtrisent bien l’énergie nucléaire, Etats-Unis et Europe en tête.
LES ENERGIES RENOUVELABLES.
La plus belle invention de l’homme ; c’est l’électricité. Nous la trouvons partout sauf comme
moyen de transport. Est-ce volontaire, l’intérêt de quelques uns ou un oubli à cause de la facilité de l’essence ?
Si nous pouvions palier à cette lacune (il n’y a pas d’autres possibilités actuellement), le besoin en électricité deviendrait énorme et il faudrait solutionner le problème et ce dans les meilleurs délais pour sauver la terre.
C’est la seule solution à mes yeux, donc étudions les moyens les plus logiques et les moins polluants.
Dans un premier temps on ne pourra pas se passer du nucléaire, mais dans l’avenir il faudra considérer cette ressource comme une énergie d’appoint même si elle représente actuellement 60% des besoins.
Il faut absolument développer la recherche sur les énergies renouvelables (solaire, éolien, géothermie et d’autres à inventer).
1. Le solaire ;
Le gros problème est qu’il nous sera impossible de construire suffisamment de surface pour satisfaire les besoins actuels. Mais si nous couvrions déjà les surfaces possibles : autoroutes, voies ferrées, parkings publics, routes secondaires, toitures d’habitation, de serres etc. nous résoudrions une partie du problème. (A titre indicatif, une autoroute entre Paris et Nice = 1000 Kms x 50 mètres de largeur soit 50kms2). Les besoins actuels pour la France selon un autre internaute seraient équivalents à 18000kms2. Si nous couvrions toutes ces installations, on pourrait atteindre peut-être 3000kms2 soit 1/6 des besoins .Le financement de cette énorme entreprise se ferait par les distributeurs qui se rembourseraient sur l’énergie électrique revendue aux consommateurs.
2. L’éolien :
Le gros problème ce sont les nuisances qu’on lui reproche (environnement, bruits etc.). On pourrait peut-être créer des éoliennes en forme de mât avec des girouettes qui serviraient à orienter le rotor dans le sens du vent (le système a déjà été expérimenté sur le mât d’un bateau expérimental) ou garder les systèmes actuellement utilisés mais en les installant dans des zones déjà sacrifiées, je pense aux autoroutes et aux voies ferrées (1000kms2 d’autoroute avec une éolienne tous les 50mètres représentent 20000 éoliennes, je laisse aux experts le soin du calcul si on multiplie l’opération sur tous les autoroutes et sur toutes les voies ferrées du pays ou de la communauté). Même avec le peu de rendement d’une éolienne, nous atteindrions un pourcentage des besoins actuels convenable. Pour le financement : même principe que le solaire..
3. La géothermie :
Je ne suis pas du tout un spécialiste mais j’ai des questions à poser.
Serait-t-il possible de creuser un puits jusqu’aux couches profondes de la terre pour atteindre des zones qui avoisineraient plusieurs centaines de degrés ?
Serait-t-il possible d’y descendre une cuve étanche pour y faire bouillir de l’eau (Je pense à un ballon de 100 mètres de diamètre sur un kilomètre de haut par exemple) ?
Si oui, serait-t-il possible de le remplir d’eau pour obtenir de la vapeur qui ferait tourner des turbines à vapeur en surface. L’eau de vapeur serait récupérée dans un réservoir et pourrait être recyclée en un mouvement continu sans beaucoup de perte et sans réchauffer l’atmosphère.
Si c’était possible on pourrait envisager de réduire ou de supprimer les centrales nucléaires dans des délais raisonnables. Je crois que le coût de fabrication du kwa/h serait moins élevé …à débattre messieurs les spécialistes.
Il est frappant de voir combien nous sommes attachés à avoir une énergie dominante.
Toutes vos idées sont pleines de bon sens . Mais le premier point réside dans une évolution pour de multiples énergies visant à satisfaire nos besoins. Les questions sont plutôt quelle énergie pour telle activité? Comment développer le solaire avec rentabilité? etc………
Vous expliquez les nuisances d’éolienne. Je me permet de vous dire ceci ; J’ai visité dans le centre de la France 6 éoliennes de 2 MW chacune appartenant à quatre agriculteurs pour un coût total de 13 millions d’euros .
Il y avait une voie ferrée à 500 mètres et une autoroute à 400 mètres ; Pour entendre le bruit des pales il ne faut pas de train ou pas de voitures sur la route. Qui est le plus gênant certainement pas les éoliennes que nous avions du mal à entendre comparé aux vacarmes des voitures et du trains.
Sur le plan rentabilité, je doit dire que les 4 agriculteurs ont eux un mal fou avec l’administration et le Crédit Agricole qui ont tous fait pour anéantir le projet. C’est une autre banque qui a assuré le financement. La banque dite verte est sur la touche pour les vrais projet VERT.
Une fois de plus le changement de sources énergétiques n’est pas liée aux questions de subventions ou de taxes, mais dépend directement de la force économique et du monopole des lidears d’aujourd’hui .
Simplifier les démarches et autoriser les bonnes action en énergie aura plus d’impact et d’éfficacité que toutes les usines à gaz administratives. L’État doit faire l’éffort de revoir l’assiette fiscale énergétique pour libérer et encourager les ressources renouvelables.
Un chercheur Français à mit au point un moteur à air comprimer ( très intéressant en terme d’environnement ) . Mais voilà ce n’est pas compatible avec le système d’impôts indirect, donc le moteur sera développer en Asie.
Concernant l’énergie solaire les Etats Unis ont améliorés considérablement le produit : support plus léger, coût de fabrication réduit, performance du produit, etc… En France nous n’avons pas encore cette nouvelle génération de panneaux solaires. Je reste convaicus que cette énergie sera demain importante et nécessaire au niveau individuel.
Quand j’observe avec quelle grande facilité l’Etat et les constructeurs automobiles ont promotionnés les ventes de voiture en baissant le taux de TVA, Je pense que la même énergie administrative déployer pour les énergies renouvelables entrainerait un véritable chantier positif sur les citoyens.
Madrigal, merci pour votre très bonne réponse. Bien sûr l’énergie dominante c’est l’électricité, bien sûr ce n’est pas la seule, je suis d’accord avec vous, mais pour moi c’est la réponse à beaucoup de questions.
Concernant les éoliennes, la aussi je suis convaincu que le bruit invoqué n’est que le chantage de quelques détracteurs, mais en installant les éoliennes dans des zones déjà sacrifiées (voies ferrées, autoroutes, zones industrielles, etc.) en plus des installations privées, je crois que nous évolueront vers le moins nucléaire dans le proche avenir, d’autant qu’il faut vingt ans pour construire une centrale nucléaire alors qu’une éolienne c’est très rapide. Oui il faut encourager ces entreprises individuelles à s’équiper et à obtenir des subventions mais il faut qu’il y ait un échange avec le distributeur (EDF en l’occurrence) pour assurer la distribution régulière.
Bon courage dans votre engagement.