mars 2007

Monthly Archive

 Marmotte avisée

Par cyberic71 le 31 mars 2007
Thème(s) : Appareils et usages quotidiens
Mots clés : , ,

Les conseils de bison futé sont parfaitement rentrés dans les moeurs, et ont fait la preuve de leur efficacité pour réduire les pointes de trafic routier. Pourquoi pas une “marmotte avisée” pour les pointes de consommation électrique ?

Comme les compteurs ne permettent pas actuellement de surfacturer l’électricité pendant les pointes, ne pourrait-on pas faire appel au civisme en diffusant des bulletins d’alerte incitant les gens à réduire leur consommation (éteindre quelques lampes, réduire la consigne de température …) ou à différer certaines opérations (lessive, vaisselle, repassage …) ?

Ce serait certainement plus efficace en termes de réduction des émissions de CO2 que la généralisation des ampoules basse-consommation, puisque les combustibles fossiles ne sont plus guère utilisés en France que pour passer les pointes.

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 Les projets de rénovation urbaine des quartiers d’habitat social : une opportunité à saisir, vite !

Par Gilles Garcia le 31 mars 2007
Thème(s) : Bâtiment, Aménagement, urbanisme, production
Mots clés : , , ,

L’Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine (ANRU) a été créée en 2004 pour subventionner massivement les opérations de restructuration des quartiers d’habitat social les plus dégradés. Son programme – déjà largement engagé – vise à construire 250 000 logements locatifs sociaux, en détruire autant et en réhabiliter 400 000 d’ici 2013. Sur cette période, près de 35 milliards d’euros devraient être mobilisés par les opérations soutenues par l’ANRU. Au-delà des interventions sur le logement lui-même, l’ANRU peut aider les opérations afférentes sur les espaces et équipements publics, les déplacements locaux, les infrastructures économiques locales (commerce de proximité, immobilier d’entreprise…). Enfin, l’ANRU finance l’ingénierie de projet (études, expertises, conduite de projet, concertation locale…).

Les pouvoirs publics disposent donc là d’un formidable levier pour promouvoir l’efficacité énergétique dans le logement social, aussi bien dans le neuf que dans l’ancien, et au-delà, améliorer le bilan carbone de morceaux entiers du tissu urbain en jouant sur la localisation des équipements et des activités, sur la demande et l’offre de déplacements locaux, etc.

Ainsi, l’octroi de la subvention de l’ANRU pourrait être conditionné par la réalisation d’un diagnostic énergie/carbone du projet et le choix de la variante la plus avantageuse. Ce diagnostic lui-même pourrait être financé par l’ANRU. Les éventuels surcoûts d’investissement générés par un choix avantageux en terme de bilan énergie/carbone pourraient bénéficier d’un taux de subvention ANRU majoré. L’innovation, l’expérimentation, les opérations de démonstration - par exemple en matière de recours aux énergies renouvelables, aux techniques de l’habitat bio-climatique, aux matériaux de construction performants, de développements de l’intermodalité dans les déplacements locaux… - pourraient également bénéficier d’un bonus de l’ANRU.

Or ce levier est inutilisé. La commande politique passée à l’ANRU était, lors de sa création, et est restée aujourd’hui de « faire du chiffre » en réponse à la situation d’urgence, bien réelle, dans laquelle se trouvent bien des quartiers visés par ces opérations. Du coup, en trois ans, l’ANRU s’est engagée (conventions signées) à hauteur de 20 milliards d’euros, sur plus de 300 quartiers représentant plus de 2,5 millions d’habitants… mais avec une influence limitée sur le contenu des projets et en tout cas, apparemment, sans aucune exigence quant à l’efficacité énergétique et les émissions de GES des projets. Il suffit pour s’en convaincre de parcourir le numéro spécial ANRU que vient de publier la revue « Urbanisme » (en téléchargement libre et gratuit) sous le titre « Enjeux, mise en œuvre, qualités »: en dépit de son actualité… brûlante, la question brille par son absence !

Il suffirait pourtant de peu : le conseil d’administration de l’ANRU regroupe les représentants des bailleurs sociaux et les principaux ministères concernés, y compris celui de l’écologie et du développement durable. Il ne manque que l’impulsion politique, et peut-être un peu d’expertise ad hoc, tant au sein de l’ANRU que de son administration de tutelle, la délégation interministérielle à la ville. Au plan local, une invitation aux élus locaux, porteurs des projets, et aux délégués territoriaux de l’ANRU (préfets ou DDE), qui les instruisent, à travailler en meilleure liaison avec les délégations régionales de l’ADEME pourrait aussi être utile.

Tout cela ne coûterait pas grand-chose en regard des masses de crédits que manie l’ANRU. C’est surtout une question de choix - et donc de volonté – politique.

Quel que soit le gouvernement qui sortira des urnes à la fin du printemps, l’ADEME devrait l’interpeller sur cette opportunité que nous sommes en train de laisser passer.

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 Pourquoi ne pas penser équilibre?

Par Mika le 31 mars 2007
Thème(s) : Consommation, décroissance
Mots clés : Aucun

Bonjour à tous,

J’ai parcouru ce forum avec attention. Je retiens que nous retenons l’approche :
“Réduction au maximum de nos émissions de gaz à effet de serre”.
Cette approche est louable. Je ne me permettrai pas de la dévaloriser ou quoique ce soit du ce genre.

Mais après réflexion, et ce depuis un certain, je me demande pourquoi on ne tente pas une nouvelle approche qui va da ns le sens de conserver un équilibre. Certes nous émettons des gazs à effets de serre. Mais quels sont-ils?
CO2, méthane, H2O, je ne suis pas spécialiste mais je pense que ce sont les principales.
Alors pourquoi ne pas créer un effet contre balance? nous créons l’émission, ne pouvons-nous pas créer la consommation? Ou un quelconque effet inverse?

Je suis arrivé à cette idée en me disant qu’au final nous perturbons les cycles naturels de la planète, qui contribuent tous à l’équilibre des écosystèmes.

Identifions notre niveau de contribution au déséquilibre et contre-balançons.

Bref, une idée que je garde dans mon coin depuis un certain, j’aimerais avoir votre avis… Je suis surement pas le premier mais je ne l’ai pas vu dans le forum.

Qu’en pensez-vous?

Et cette approche sera plus globalisante. On le voit un peu à travers les déchets, on essaie de recycler pour créer notre propre cycle.

J’attends vos réactions.

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 Maison Bois

Par Pecquot le 31 mars 2007
Thème(s) : Bâtiment
Mots clés : , ,

Je n’ai apparemment pas trouvé ni subvention ni défiscalisation pour une maison en structure bois.
Je trouve pourtant ce matériau idéal pour garantir une isolation efficace été comme hiver. Aujourd’hui un mur de 150 cm en structure bois + bardage + laine de verre est jusqu’à 5 fois plus isolant qu’un mur béton classique.
Pourquoi ne rien proposer ?? Isolation performante, suppression des ponts thermiques, le bois permet de proposer toute sorte de solutions.
Il faut admettre que c’est le point de départ nécessaire pour économiser les autres énergies. Chauffage moins sollicité (même tout électrique), ballon d’eau chaude moins sollicité également.
Personnellement j’ai opté point le chauffage électrique rayonnant au sol. c’est une solution économique à la pose, sans entretien et d’un rendement excellent.

De plus les constructions bois fleurissent dans nos campagnes. beaucoup de nos concitoyens ont du comprendre l’enjeu, comme moi.

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 climatision et risque sanitaire = consommation électrique excessive

Par ClaudeB le 30 mars 2007
Thème(s) : Appareils et usages quotidiens
Mots clés : ,

Nous somme une entreprise spécialisée dans la maintenance des système de refroidissement. (système exclusif et breveté)
notre constat aujourd’hui aprés deux années d’exploitation et de recherche sur le comportement des utilisateurs de climatisation, il en résulte;
- l’entretien n’est pas encore entré dans les moeurs (surement par manque d’informations)
- le mauvais entretien est responsable de diverses pathologies plus ou moins graves pour les humains
- le manque d’entretien régulier provoque une sur-consommation electrique (logique car les compresseurs forcent si l’air ne circule pas bien dans les échangeurs)
Au vue du nombre de climatiseurs en fonctionnement et la progression des installations c’est un sujet qui devrait être mieux pris en compte par les organismes compétents.
Un sujet d’avenir qui devra être pris en compte:
risques sanitaires et consommation électrique lié à la climatisation, deux éléments indissociables

Merci
C Ballion

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 Paradigme de société viable

Par romu le 30 mars 2007
Thème(s) : Consommation, décroissance
Mots clés : ,

Nous sommes tous ici, à débattre de problèmes énergétiques, et bien souvent, point très positif, des idées très concrêtes sont proposées.

Le fil que j’initie maintenant, est plus orienté vers le futur. Admettons que toutes les idées, fort intéressantes, présentées ici soient mises en oeuvre et que nous arrivions rapidement à cet objectif du “facteur 4″. Le climat des 100 prochaines années étant déjà joué, ce sera déjà ça pour notre descendance.

Peut-on quand même continuer à maintenir notre mode de développement basé sur le “toujours plus” ? “Toujours plus” voulant dire plus de production de biens manufacturés, plus de consommation de ces mêmes biens, donc plus d’énergie pour fabriquer ces biens, souvent plus aussi pour les utiliser (un exemple la nouvelle mode des cadres photos électroniques), plus de pression sur les matières premières, etc.

L’élévation du niveau de vie nous conduit à vivre toujours plus vieux, nous sommes donc toujours plus nombreux sur la planète, bientôt 9 Milliards. A environnement égal (si on trouve d’autres planètes vivables, prévenez moi), et à mode de vie identique, on comprend aisément que 9 Milliards appliquent une pression 9 fois forte sur l’environnement que si nous étions restés à 1 Milliards.

Donc, si je continue mon raisonnement, admettons que notre mode de vie actuel soit correctement dimensionné pour 6 Milliards d’individus sur la planète, ce qui est faux nous le voyons au travers de ce débat, mais admettons.

Passer à 9 Milliards signifie que chacun des 6 Milliards doit diminuer la pression individuelle qu’il applique sur l’environnement d’environ 33% pour qu’on puisse caser tout le monde. Et ainsi de suite, au fur et à mesure que la population humaine augmentera.

En conséquence, je perçois assez bien la réponde à ma question du début : Non.

Maintenant, je me dis que, comme tout le monde, je fais des erreurs, et que j’apprécierais que quelqu’un me dise : tu t’es planté sur tel point ou sur tel autre.

Mais si je ne me suis pas trompé, et si la réponse est effectivement “Non”, alors, et ça dépasse largement le cadre de ce débat, c’est l’ensemble de la vie humaine sur la planète qu’il faut repenser, mettre des “ampoules basses consommation” ne suffira qu’un temps.

Qu’en pensez vous ?

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 L’après pétrôle sera des énergies multiples

Par madrigal le 29 mars 2007
Thème(s) : Modèle énergétique
Mots clés : , , ,

Les ressources dites énergétiques ne manquent pas, nous les cotoyons tous les jours. Le soleil, le vent , l’eau, la température de l’air du sol et du sous-sol, et le végétal sous diverses formes. Les méthodes de fonctionnement sont déjà bien avancées même s’il reste des progrès techniques pour aboutir.
Aujourd’hui le plus difficile est d’imaginer l’énergie autrement dans sa vie quotidienne, après 50 ans de domination pétrôle. Plus difficile encore, retrouver une nouvelle assiette de prélèvement d’impots indirects.
Nous sommes capables d’utiliser d’autre sources énergétiques, mais le passage à l’acte trouve encore beaucoup de frein.
Avancer c’est un peu repousser nos peurs et nos convictions, comme pour l’Etat c’est se remettre en cause et voir différenment les questions des ses ressources financières.
Car la seule véritable différence entre aujourd’hui et demain réside dans la multiplication des énergies à notre services.
Pour le reste , je vous invite à visiter la chaudière à paille des HLM de VILLEPARISIS( 77) .Une seule chaudière pour 250 logement HLM et environ 1300 personnes logés . Une consommation de moins de 1000 tonne de paille à 75 € la tonne : soit pour cette hiver moins de 60 € par personne d’énergie pour le chauffage de octobre à fin mars .
Merci aux agriculteurs pour cette réussite.

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 Informations de l’ADEME sur les panneaux solaires photovoltaïques

Par mediateur le 29 mars 2007
Thème(s) : Bâtiment, Rôles nucléaire et énergies renouvelables
Mots clés : ,

Suite à différentes interventions dans la discussion Panneaux photovoltaïques sur tous les toits, l’ADEME nous a demandé de mettre en ligne les informations suivantes :

La production moyenne par m2 et par an en France est de 100 kilowatt heure. Quelques précisions sur les investissements et la rentabilisation aux conditions actuelles :

Une installation moyenne en France a une puissance de 2,6 kw (soit 25 mètres carrés). Elle produit 2600 kw heure par an et coûte en moyenne 17 200 euros. La pose représente environ 15 % du prix global. Le coût du matériel ouvre droit à un crédit d’impôt (remboursable aux foyers non imposables) que l’on peut calculer de la façon suivante :

17 200 * 0.85 *0.5 = 7 310 euros.
Le crédit d’impot est limité à 8 000 euros par foyer. Le coût de l’investissement se monte donc à 9 890 euros après CI.

On valorise la production en la vendant à EdF respectivement 0,55 euros par kWh si le système PV remplace votre toiture et 0,3 euros par kWh si le système est posé sur votre toiture. L’investissement est donc rentabilisé en terme de temps de retour brut respectivement :

Nota des animateurs du débat : Le calcul effectué dans les commentaires de “seb” et “franck-nat” est correct (voir lien conduisant à de nombreuses sources primaires). Le commentaire de “Labruyère” avait donné un chiffre de 2000 km2 (nos excuses à Labruyere pour avoir indiqué ici par erreur qu’il mentionnait 4000) de surface nécessaire pour une production solaire équivalente à celle d’une centrale nuclaire de 4GW. Une centrale de ce type fonctionne à pleine puissance environ 7300 heures par an (les chiffres avancés vont de 6500 à 8000 heures). Le chiffre de 2000 km2 est donc erroné d’un facteur 7 : la vraie surface nécessaire pour la production solaire équivalente est de 293 km2. Il n’en reste pas moins que cette surface est très supérieure à celle avancée de 1 km2 dans le cas de la centrale. Dans la suite de la discussion, des commentaires avaient évoqué le fait que la surface réellement utilisée par les panneaux était supérieure à leur surface propre, tout comme l’énergie nécessaire à leur production devrait être prise en compte. Cela va de soi, mais s’applique également aux centrales nucléaires, à leur construction et à leur démantèlement, et aux déchets qu’elles produisent. Une comparaison complète demanderait donc une analyse beaucoup plus détaillée.

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 Etre militant et montrer des exemples chiffrés

Par ericpey le 29 mars 2007
Thème(s) : Consommation, décroissance, Appareils et usages quotidiens
Mots clés : Aucun

Avant de faire un geste pour la planète, j’étais très dubitatif sur l’efficacité des différents appareils à économie d’énergie. Et bien, j’ai créé un blog où chacun peut voir des résultats chiffrés de mes expériences sur les économies d’énergie (isolation, chaudière solaire, électricité, eau, essence et kilométrage, …)
Je suis convaincu que c’est en mesurant que l’on peut être concient de ce que l’on consomme, et en conséquence que l’on peut mesurer les économies. Alors, à vos tablettes.

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 credit d’impot trop limité

Par scanjet.33 le 28 mars 2007
Thème(s) : Bâtiment
Mots clés : ,

Bonjour
il y a longtemps que j’ai pris conscience du problème énergétique puisqu’il y a plus de 10 ans j’ai fait l’isolation extérieure de ma vieille maison ,laine de roche dans les combles, double vitrage,un combi panneaux solaires clipsol et enfin l’année dernière une chaudiere à Granulé Ökofen .
le problème est que le montant de mon credit d’impot ne me permet plus d’installer de panneaux photovoltaiques comme je le souhaiterai.
En 2009 je ne sais quelles seront les aides accordées et si mon âge justifieront encore l’investissement.
Qu’en pensez-vous ?

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 Certains déchets pourraient être mieux recyclés.

Par arno le 28 mars 2007
Thème(s) : Aménagement, urbanisme, production
Mots clés :

Bonjour,

Je suis choqué, à chaque fois que je vais à la déchetterie, d’etre obligé de jeter du bois dans le container “déchet non recyclables”. Ne pourrait-on pas récupèrer ce bois pour chauffer des établissements publics (écoles, mairies, HLM…) en créant des chaufferies “bois” ?

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 les CEE: certificats blancs

Par Clamy le 28 mars 2007
Thème(s) : Bâtiment
Mots clés : Aucun

Les certificats d’économie d’énergie ou certificat blanc commencent a faire leurs apparitions. sur le principe, obliger les distributeurs d’énergie a faire des économies a leurs clients est bon.

en effet, grace aux certificats blancs que gènere une économie d’énergie il est possible de subventionner une partie des travaux au travers de leurs revente aux distributeurs d’énergie (chaque distributeur doit justifier un certains nombre de certificat sous peine d’une pénalité libératoire à verser au Trésor public)

A l’heure actuelle, nous sommes en periode d’apprentissage de ce systeme et nous prenons le problême a l’envers. Sur le terrain, au lieu de proposer des solutions d’économies d’énergie a leurs clients, les vendeurs d’énergie recherchent parmis leurs clients les économies d’énergie réalisées ou qui le seront et propose de s’y allier… ces économies d’énergie auraient été réalisées de toutes facon puisqu’elles sont a l’initiative du client !
Les économies d’énergie réalisées dans le cadre des CEE devraient partir d’une proposition (facilement applicable et interressante) des vendeurs d’énergie.

Certains vendeurs d’énergie ne proposent même pas de rachat des certificats mais proposent de s’occuper des démarches administratives (cela aurait été le cas de toutes facon car les dossier transmis a la drire le sont en général par eux).
Je trouve que les vendeurs d’énergie ne jouent pas le jeu (a l’heure actuelle … peut etre une periode de rodage) car c’est a eux que les pouvoirs publiques imposent l’obligation de FAIRE des économies d’énergie et non de les rechercher parmis les actions menées par leurs clients.

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 Agriculture bio encore mais pour s’habiller

Par romu le 28 mars 2007
Thème(s) : Consommation, décroissance
Mots clés :

J’ai ouvert un fil il y a quelques jours concernant l’agriculture bio pour l’alimentation et ses bienfaits pour réduire les émissions de GES.

Mais il est un autre domaine où l’agriculture bio peut aussi être développer : l’habillement.

Il devient maintenant possible de s’habiller bio, au moins partiellement, à des coûts raisonnables, c’est pas plus cher que des vêtements de marques connues. De plus, dans la majorité des cas, le coton biologique est aussi vendu selon les procédures du commerce équitable, tout le monde est donc gagnant.

Citons par exemple :
- La marque Somewhere (marque de La Redoute) qui développe une gamme bio,
- Les T-Shits Laspid
- Les chaussures Veja
- Les vêtements Ideo
- Certains Jeans de Levis
- Les vêtements Modetic

J’en oublie surements mais si vous pensez que c’est un moyen efficace de lutter contre les GES, alors ne vous gênez pas pour agrandir cette liste.

Il ne s’agit pas de faire de pub, mais de faire connaître au plus grand nombre un moyen de se vêtir plus respectueux de notre environnement.

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 La politique énergétique, débat zen haut ?

Par vital le 27 mars 2007
Thème(s) : Autour du débat
Mots clés : ,

Je me permet simplement de poser une question : ce débat va-t-il vraiment servir à quelque chose ? Sachant que les grandes décisions en matière de relance du programme nucléaire (EPR) sont prises et les travaux engagés, et que cela s’est décidé avant et en dehors des consultations LOE (loi d’orientation énergétique) on peut se le demander. Le vrai travail me semble être surtout effectué par des associations, qui s’acharnent à pallier le peu d’engagement étatique. Mais sans des mesures fortes de la part de l’état, rien de profond ne peut émerger. Alors à quand les vraies mesures ? A quand la rationalité ?
/* message modifié par le modérateur (mis dans “autour du débat”, une phrase retirée) */

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 Economie d Energie

Par [email protected] le 27 mars 2007
Thème(s) : Bâtiment
Mots clés :

Pourquoi laisser construire des maisons neuves sens faire respecter les normes -ISOLATIONS- retraite je me promene et constate que beaucoup de maisons sont mal construites-mauvaise pause des briques -produit non conforme au norme isolation pour les joints- tout le monde est presse de rentrer dans sa maison neuve et laisse faire par manque de temps ou pour les quelques un qui osent se rebeller c est l arret du chantier et surtout beaucoup ne savent pas j ai contacte un gros constructeur -il s en fout -lAdeme-il s en occupe ? dans 2 ans ces personnes auront droit au -aide economie Pourquoi ne pas attaquer le mal a la base ????

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 Prises veilles

Par fernando le 26 mars 2007
Thème(s) : Appareils et usages quotidiens
Mots clés :

je suis en train de finaliser mon installation en tant que électricien dans le batiment et je compte faire l’électricité d’une façon nouvelle de sorte que l’on puisse couper toutes les prises veilles de la maison aussi facilement que l’on coupe la lumiére. Et oui un seul inter couperas le courant de toute les prises de courant qui sont destinées à alimenter nos gourmands appareils électroménagers. Je pense que l’on pourrait économiser une grande partie de l’énergie grace à un simple changement de l’installation électrique.

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 Carte “VIE”

Par vducros le 26 mars 2007
Thème(s) : Consommation, décroissance
Mots clés : , ,

Pour répondre globalement au problème environnementaux et énergétiques, il faut casser les égoïsmes individuels pour aboutir à un mouvement d’ensemble vertueux.
Ainsi je propose la création d’une carte “VIE” qui remplacera la carte “VIATLE”.
Cette carte comptabilisera nos dépenses de CO2 à chaque achat (produits manufacturés, essence, avion, train,…).
Ainsi, chaque français se verra attribuer un quota d’émission individuel égal pour tous. Ce quota maximal en début d’année diminuera au fur et à mesure de nos consommations. Lorsque ce quota est épuisé, il est nécessaire de d’acheter des droits à polluer sur le marché.
Ainsi une personne aisée qui souhaite beaucoup voyager devra acheter des quotas auprès des personnes moins riches qui ne voyagent pas. Cela aboutit à un partage des richesses dans la limite du quota global français.
Ce système implique la détermination du cout global des produits (donc une évaluation de son impact environnemental) et de puissants moyens informatiques de comptabilisation et d’échanges de droits à polluer.
Ce système simple d’utilisation est certes complexe mais pas insurmontable pour un pays capable d’envoyer des hommes dans l’espace…

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 potentiel de gain énergétique au travail inexploité

Par guiguike le 26 mars 2007
Thème(s) : Appareils et usages quotidiens
Mots clés : , , ,

Bonjour, il est beaucoup question de faire attention chez soi. Mais il faut bien dire qu’avec un travail à temps plein, on passe plus de la moitié de ses journées hors de chez soi.
Et au sein de son entreprise, les questions d’économie d’eau (toilettes), de lumière (néons, lampes de bureau) d’électricité (ordinateurs, imprimantes, photocopieuses), sans parler du chauffage et de la climatisation sont rarement prises en compte.
Il faudrait des mesures incitatives pour que les sociétés n’utilisent que des produits à effet minimal sur l’environnement.
Ce n’est pas toujours possible dans l’ancien. Mais si déjà, par des mesures incitatives, il y avait installation - pourquoi pas obligatoire - de chasses d’eau 3/6 litres, de robinets avec débit limité, de lampes basse consommation, cela ferait déjà un gros potentiel “positif” pour les économies d’énergie.
Sans oublier les articles de bureau (papier, impression recto verso, crayons, enveloppes) à base de matériaux recyclés ou obtenus avec le moins d’effet nocif pour l’environnement.
Comme toujours, chacun se sent moins responsable car l’entreprise n’appartient pas toujours à ceux qui y travaillent et ces derniers ne paient les factures…

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 Noël en famille ou 15 litres de pétrole…

Par pozerpozer le 26 mars 2007
Thème(s) : Transport, Consommation, décroissance
Mots clés : , ,

Par rapport aux transports, avec un collègue (Dominique Perrin, Université de Gembloux, Belgique), j’ai écrit un petit texte relatif au coût CO2 du transport de marchandises fraîches disponibles dans les supermarchés belges. Je vous laisse savourer…
(Pierre OZER et Dominique PERRIN, La Libre Belgique (Belgique), 30 janvier 2007).

Noël en famille ou 15 litres de pétrole…

La place du réchauffement climatique dans les médias, dans les préoccupations des citoyens et dans le débat politique est sans cesse croissante, tout comme l’est la concentration en dioxyde de carbone (CO2) dans l’atmosphère.
La semaine précédant Noël, j’ai décortiqué les publicités de mon hypermarché le plus proche pour préparer le repas familial tant attendu. Et voici ce que j’ai pu concocter pour huit personnes avec, entre parenthèses, les kilomètres parcourus entre le pays de production et la Belgique ainsi que les kilogrammes de CO2 émis uniquement pour le transport aérien intercontinental de ces produits achetés. L’analyse se focalise sur le transport par voie aérienne puisque celui-ci émet, en moyenne, 60 fois plus de CO2 que le transport par voie maritime.
D’abord, pour faire joli, je fais trôner un magnifique bouquet de vingt roses au centre de la table des grands jours. La provenance de ces magnifiques fleurs est kényane et le mode de transport est aérien (6550 km, 5,2 kg de CO2).
Le décorum bien planté, commençons donc par un velouté d’asperges aux langoustines. Le légume vert nous vient directement du Pérou par avion (10500 km, 12,5 kg de CO2) et les langoustines ont été acheminées, une fois décortiquées et congelées, par bateau depuis l’Indonésie (14000 km). Remarquez que, du point de vue des émissions de CO2, il est encore préférable d’acheter des langoustines élevées en Asie du Sud-Est plutôt que ce même crustacé pêché en Ecosse – quel paradoxe ! En effet, ce dernier, une fois attrapé dans les eaux européennes, va faire un périple extraordinaire par bateau jusqu’en Thaïlande d’où, une fois décortiqué, il retournera sur le marché européen (22000 km). Une délocalisation due au fait que je préfère, en cette veille de Noël tout comme les 364 autres jours de l’année, acheter des crustacés décortiqués. Et comme 70 pc des consommateurs ont opté pour ce gain de temps…
Après deux bonnes bouteilles de Sauvignon blanc chilien (11900 km) à la robe jaune pâle, nous attaquons le plat de consistance. Bien décidé à offrir un mets exotique à mes chers convives, j’ai longtemps hésité entre le springbok - cette belle antilope - de Namibie (8300 km), le kangourou australien (16700 km), l’autruche d’Afrique du Sud (8900 km), la biche de Nouvelle-Zélande (18700 km) et le bison canadien (5600 km). Un peu perdu, je me suis finalement engagé à faire un simple steak-frites-salade bien de chez nous. Sous le titre peut-être rigolo « on en a pour son argentin », mon hypermarché m’offre un steak de boeuf argentin venu par avion (11300 km, 14,5 kg de CO2) à un prix 30 pc inférieur au Blanc-Bleu-Belge… Comment résister ? Pour les frites faites maison, j’achète des pommes de terres labellisées « bio » qui viennent du Sud de la France par camion. Quant à la salade, elle vient d’Espagne. Alors, l’espace d’un instant, je m’interroge… Pourquoi dit-on que c’est le plat traditionnel belge par excellence ? Mais ce questionnement futile se dissipe rapidement car je dois vite ouvrir les bouteilles de Cabernet Sauvignon californien (8900 km), une vraie merveille dont l’attaque en bouche est ronde et corsée.
Et c’est mon épouse qui se charge du dessert tant attendu. Une salade de fruits réalisée exclusivement avec les fruits frais en promotion trouvés au magasin. Tenez-vous bien, il s’agit de poires nashi de Corée du Sud, de mangues, papayes, figues et melons charentais du Brésil, de fruits de la passion de Colombie, de grenades des Etats-Unis, de fraises d’Israël, d’ananas d’Amérique Centrale, de cerises d’Argentine et de caramboles de Malaisie. Nous décidons d’y ajouter deux kiwis de Nouvelle-Zélande, une orange d’Afrique du Sud et une pomme belge pour que tous les continents soient représentés dans le même récipient. Evidemment, alors que nous approchons des douze coups de minuit, qu’il fait toujours 10°C dehors et que mon fils de trois ans me répète que ce n’est pas Noël puisqu’il n’y a pas encore eu de neige, un tel dessert a un coût : une distance cumulée de 126 000 kilomètres et une facture approximative de 9 kg de CO2 émis. Là-dessus, je débouche une bouteille de mousseux blanc de Tasmanie, une île au sud de l’Australie (17100 km).
In fine, fleurs et vins compris, la distance totale parcourue par tous ces produits est de 209 000 kilomètres, plus de cinq tours du monde, avec les émissions de 41,3 kg de CO2. Cela équivaut aux émissions de CO2 d’un véhicule ordinaire parcourant la distance de 258 kilomètres, soit approximativement 15 litres d’essence pour moins de six kilogrammes de nourriture !
Pourtant, avec un joli bouquet de houx au centre de la table, une délicieuse soupe au potiron en entrée, suivie du même steak-frites-salade à base de produits locaux, une salade de fruits sans fraises, cerises … venues par avion et des vins français nous permettraient de diminuer de plus de 80 pc les émissions de CO2 dues au transport.
Veiller à ce que nous mettons dans notre assiette fait partie des multiples petits actes citoyens que nous pouvons poser pour diminuer notre empreinte écologique. Le transport de marchandises par voie aérienne était de 2 milliards de tonnes-kilomètres transportées[1] en 1960. En 2006, ce chiffre est passé à 150 milliards. Et la part des émissions de CO2 due aux transports aériens s’accroît chaque année.
Un supermarché scande « Vivez comme vous voulez », un autre clame « Et tout devient possible ». Nous en sommes intimement convaincus. Et si nous, consommateurs, n’achetons plus de cerises d’Argentine, de fraises d’Israël ou de myrtilles du Chili en hiver, ils n’en proposeront plus. Ensemble, nous pouvons forcer le changement. Et tout cela sans réellement perdre de notre confortable qualité de vie.
Mais pour que le consommateur s’y retrouve, il faut l’aider à faire son choix en connaissance de cause. Nous en appelons donc au politique pour qu’il légifère en la matière et impose aux distributeurs l’application de logos (un avion rouge et un bateau bleu, par exemple) indiquant systématiquement et clairement le mode de transport utilisé pour le transport intercontinental de ces marchandises.

[1] Charge transportée exprimée en tonne multipliée par la distance exprimée en kilomètres.

Pour réaliser ces calculs, nous nous sommes basés sur les chiffres moyens suivants: pour une tonne de marchandises, les émissions de CO2 sont estimées à 799 grammes par kilomètre parcouru lors du transport aérien et de 13 grammes par kilomètre parcouru lors du transport par voie maritime.

Plus d’informations sur: http://avionrouge.blogspot.com/

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 incitation au solaire pour un investissement locatif

Par stanbarthelemy le 26 mars 2007
Thème(s) : Bâtiment
Mots clés : ,

j’envisage de construire une habitation avec chauffage solaire et de la mettre en location.
je n’ai que des contraintes, cout plus élevé, risque aggravé en matière de renouvèlement du système de chauffage à la charge du propriétaire.
je n’ai aucun moyen de répercuter ces couts dans les charges locatives.
en supposant que le locataire accepte de payer un loyer plus cher, ce supplément fait partie du loyer imposable et je suis donc imposable sur cette partie.
il n’y a donc aucun intérêt à faire un tel investissement.
sans parler de crédit d’impot ou autre solution, une incitation serait de pouvoir facturer en charge locative à un prix inférieur au prix du marché le KJ de chaleur récupéré par le système solaire.

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